L'aviation Canadienne en Normandie

Si vous recherchez des renseignements concernant les troupes canadiennes envoyées en Normandie en 1944, ce forum est fait pour vous !

0
Aucun vote
 
Nombre total de votes : 0

Peiper
Messages : 5
Enregistré le : 25 sept., 23:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par Peiper »

L'aviation Canadienne a-t'elle joué un rôle en Normandie
Everthman
Messages : 424
Enregistré le : 11 août, 23:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par Everthman »

L'aviation canadienne en elle meme je ne pense pas, mais il y avait des pilotes canadiens dans la RAF et peut etre l'USAF Image
Invité

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par Invité »

Le 6ème groupe de bombardiers de l'Aviation Royal du Canada ont participaient à l'attaque des batteries de Merville Franceville et d'Houlgate.Voilà un petit lien qui parle de ça >>>>http://www.junobeach.org/f/2/can-eve-rod-nor-f.htm
Everthman
Messages : 424
Enregistré le : 11 août, 23:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par Everthman »

Autant pour moi, merci manu Image
Dominic
Messages : 83
Enregistré le : 11 févr., 00:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par Dominic »

Les aviateur Canadiens qui ont combattut en France à partir de 1944 était dans LaRCAF et dans la RAF je fais vous trouvez d,autre information sous peu
Dominic
Messages : 83
Enregistré le : 11 févr., 00:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par Dominic »

Slt avn Andrew Charles Mynarski
Cambrai, France
Le 12 juin 1944
Corps d'aviation royal canadien

--------------------------------------------------------------------------------

Andrew Charles Mynarski est né à Winnipeg, Manitoba, le 14 octobre 1916. Il était fils d'immigrants polonais. Il fit ses études aux écoles élémentaires King Edward et Isaac Newton et à l'école secondaire technique St. John. Pour aider à faire vivre sa famille après la mort de son père, il a travaillé, pendant quatre ans, dans l'industrie du cuir à Winnipeg. En novembre 1941, il s'enrôla dans le Corps d'aviation royal canadien. Il fit son entraînement à Calgary et Edmonton, Alberta; ainsi qu'à MacDonald, au Manitoba, avant d'obtenir son diplôme de mitrailleur de bord en 1942. Il est inhumé au cimetière de Méharicourt, en France. Le sous-lieutenant d'aviation Mynarski fut le premier membre du CARC ? �tre d?cor? de la Croix de Victoria pendant la Seconde Guerre mondiale. Sa Croix de Victoria est exposée au Quartier général du Commandement aérien, à Winnipeg.

Citation
« Le sous-lieutenant d'aviation Mynarski était mitrailleur de bord d'un appareil Lancaster qui devait attaquer une cible à Cambrai, en France, la nuit du 12 juin 1944. L'appareil fut attaqué par dessous et par l'arrière par un avion ennemi et finit par s'écraser en flammes.

Immédiatement après cette attaque, les deux moteurs de gauche s'arrêtèrent. Un incendie se déclara entre la tourelle arrière de même que dans l'aile gauche. Les flammes s'intensifièrent et le capitaine ordonna à l'équipage d'abandonner l'appareil.

Le sous-lieutenant Mynarski quitta sa tourelle et se dirigea vers la trappe d'évacuation. C'est alors qu'il s'aperçut que le mitrailleur arrière était toujours dans sa tourelle et semblait incapable d'en sortir. En fait, la tourelle était fixe, étant donné que l'équipement hydraulique était devenu hors d'usage depuis l'arrêt des moteurs de gauche et que le mitrailleur avait brisé l'équipement manuel en tentant de s'échapper.

Sans hésitation, le sous-lieutenant Mynarski traversa les flammes pour tenter d'atteindre la tourelle arrière et dégager le mitrailleur. Ce faisant, son parachute et ses vêtements, jusqu'à la taille, prirent feu. Tous ses efforts pour dégager son compagnon demeurèrent vains. Celui-ci lui indiqua clairement qu'il ne pouvait rien faire de plus et qu'il devait essayer de sauver sa propre vie. Le sous-lieutenant Mynarski retourna à regret à travers les flammes vers la trappe d'évacuation. Il se retourna alors vers le mitrailleur emprisonné et, dans un dernier geste, se mit au gard-à-vous dans ses vêtements en flammes et le salua avant de sauter de l'appareil. Sa descente fut aperçue par des Français qui se trouvaient au sol. Son parachute et ses vêtements étaient en feu. Les Français finirent par le trouver mais ses brûlures étaient si graves qu'il n'y survécut pas.

Le mitrailleur arrière s'en sortit par miracle lorsque l'appareil s'écrasa. Il affirma plus tard que si le sous-lieutenant Mynarski n'avait pas tenté de lui sauver la vie, il aurait pu quitter l'avion en toute sécurité et échapper sans doute à la mort.

Le sous-lieutenant Mynarski devait être tout à fait conscient qu'en essayant de libérer le mitrailleur arrière, il était presque sûr qu'il y laisserait sa propre vie. Il se porta quand même au secours de son compagnon avec un courage remarquable et au mépris de sa propre sécurité. Acceptant volontairement le danger, il perdit la vie en raison d'un acte d'héroïsme insigne exigeant un courage peu commun. »


--------------------------------------------------------------------------------

The London Gazette, le 11 octobre 1946
Image
little black devil
Messages : 72
Enregistré le : 31 mars, 23:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par little black devil »

La RCAF a joué un grand rôle dans la bataille de Normandie!
Plusieurs de ses wings, dont un commandé par Johnnie Johnson (as des as de la RAF, 37 avions), ont survolé la Normandie et étaient basés sur B2 et B3 entre autre! Il y avait le 127ème et le 144ème WINGS de tête...
Chacun wing est constitué de 2, 3 ou 4 squadrons, commandés par des squadrons leaders.
Je vous mettrai les tableaux d'ici peu!

De plus, plusieurs "bombing groups" de la RCAF ont bombardé la FRANCE et l'ALLEMAGNE, certains canadiens étaient dans la RAF et vice versa.
Kieran Bridge
Messages : 13
Enregistré le : 16 déc., 00:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par Kieran Bridge »

Here's my father's description of some of the RCAF's work in the Falaise Gap:

On 18 August 1944, we found ourselves dug in along a road somewhere southeast of Falaise, a short distance from a crossroad the Germans were using in their efforts to escape from the closing jaws of the Gap. The crossroad was under heavy attack by ?Tiffies,? Typhoon fighter-bombers armed with 20 mm cannons for strafing, and rockets for tank-busting. They operated very simply from our point of view. From their vantage point in the sky, they could spot their targets - trucks, tanks, wagons, men - and then dive towards them firing their cannons or rockets. As they pulled away, they left death and destruction in their wake. Needless to say, we on the ground were very fond of these fly boys and had a lot of respect for them, especially given the hot and heavy reception they received from German machine gunners.

After more or less enjoying the show for several hours (the Germans did not know we were so close by and did not bother us), one of the Tiffies was hit as it tried to pull out of its dive; we could see that its engine had been knocked out. Fortunately, the pilot had enough momentum to keep his plane in a glide. but a crash-landing seemed imminent. That pilot was one cool customer, because he knew he was headed for the deck and trouble; but still managed to bring the aircraft down at about 150 miles an hour and guide it smack into a haystack that brought him to a very abrupt but safe stop. He ended up about 100 yards out in front of our slit trenches, and It was obvious that he needed help. A couple of our guys galloped over to his aircraft and were pleasantly surprised to see the lid open up and the pilot?s two arms sticking up in the air. He thought they were Germans! He was unhurt, so the guys brought him back safely to our trenches. He was one happy airman! It turned out that he was a Canadian too, Royal Canadian Air Force, from Winnipeg, if memory serves.

The Germans saw all this and did not take too kindly to it, as they began to lob mortar bombs at us. This can be a very unpleasant experience on the receiving end. Our newly rescued airman, who had been shot at all day and finally shot down, and barely saved from a fatal crash by a haystack, didn't like the mortar bombs at all. In fact, he was heard to say, ?Let me out of here and back in the air where it's safe!? He would have made a lousy infantryman!

We continued our march south to Trun where we spent the night, and the next day, 19 August, we found ourselves in the midst of the area our air forces had been shooting up. Such a mess cannot be described: smashed cars, trucks, guns, tanks, wagons, horses, men in every road and field. Late that afternoon we prepared to move once more, as usual not knowing where or why. As it turned out, we were destined to spend the next few days and nights in the tiny village of St. Lambert-sur-Dives.
mouette77
Messages : 1
Enregistré le : 30 mars, 23:00

L'aviation Canadienne en Normandie

Message non lu par mouette77 »

Pour info, le patron des bases aériennes canadiennes en Normandie était le Group Captain W.R. MacBrien, que ses amis surnommaient "Iron Bill".
J'entendais régulièrement son nom fin des années 70, durant lesquelles il travaillait au QG de l'OTAN à Evere (Bruxelles - Belgique) comme Air Marshall, et était le patron direct de mon père, Colonel belge.

Référence :
Commander of all the Canadian airfields in Normandy is Group Captain W.R. MacBrien, whose friends call him "Iron Bill"
http://www.acesofww2.com/Canada/aces/brannagan.htm
Répondre

Retourner vers « Forces canadiennes »