armes fabriquée par la résistance

Message non lu par **Big** » 06 sept., 22:52

C'est également valable pour la Milice Française, équipée de Stens grace aux parachutages alliés!!

Et oui, ou après la capture d'un maquis ! Mais ce sont les risques et a part une délation, les parachutages ne pouvaient être su

Message non lu par **Invité** » 07 sept., 21:53

bah justement si, dans ce cas la les allemands ont guidé les appareils alliés graces au codes saisis sur le maquis local (qui en avais deja recu) de façon a recevoir les armes directements par parachutages.

Car il on eu les cades du maquis, qui a été pris par délations, enfin bref

Message non lu par **Invité** » 08 sept., 00:01

Oui on peut dire que cela reviens au même.

Message non lu par **Olivier** » 14 sept., 14:26

Je reviens sur le titre de ce post : je ne suis pas sûr que les resistants aient pu se fabriquer des armes légères. Je n'ai jamais rien lu de la sorte et jamais entendu parler de cette pratique. En revanche, le vol d'arme était pratique "courante". Lors de la libération de Paris, c'est la première chose que les FFI ont fait lorsqu'ils ont pris la préfecture de Police : vider les rateliers d'armes.

Par ailleurs, le mot "partisan" était plutôt utilisé par les allemands lorsqu'ils parlaient des mouvements de résistance.

A+

Oui, je ne vois pas comment il aurais pu

Ils utilisaient aussi le terme de terroristes !

Message non lu par **Olivier** » 17 sept., 20:15

C'est exact.
Je commentais juste le message du 4 juillet. J'aurai plutôt écrit "à la résistance", à la place de "aux partisans". C'est tout.
Tchao.

Message non lu par **Invité** » 11 juin, 07:54

[quote="Dédé49"]Oui mais les armes du maquis était en particuliers fournit par les anglais,si les français les fabriquais c'est vraiment parce que il y avait un gros problème.[/quote]

Un gros problème ? Certains mouvements de résistance ne reçurent jamais la moindre aide des alliés, ce fut le cas des résistants mosellans et alsaciens.

Message non lu par **Invité** » 11 juin, 08:02

Si les parachutages s'accélèreront en 44 et après le débarquement, les maquis se sont souvent et très longtemps débrouillés avec les pauvres moyens dont ils disposaient comme des armes de chasse, de prise et, ne l'oublions pas, des armes et du matériel cachés dès mai 1940 par des soldats et des officiers lucides et prévoyants.
La pénurie fut telle que les résistants ont été jusqu'à modifier des revolvers 1873 pour tirer les rares .45 ACP qu'ils recevaient.
Les tireurs sauront apprécier ce qui ne peut être qu'une arme de la dernière chance, avec presque autant de risques pour le tireur que pour la cible.