Extension du musée Airborne à Sainte-Mère-Eglise
Posté : 21 avr., 12:15
Les engins de chantier sont à l'œuvre depuis le mois dernier au musée Airborne de Sainte-Mère-Église pour le démarrage des travaux d'extension qui verront sortir de terre un nouveau bâtiment.
Ce bâtiment abritera la carlingue d'un C47 pour faire vivre aux visiteurs les heures angoissantes du parachutage du 6 juin 1944.
Après avoir monté une zone de vie et tracer les chemins d'accès du chantier, les choses sérieuses ont commencé dès mercredi. « En ce moment, ils creusent les fondations de ce nouveau bâtiment, explique Erich Belloch, le second en quelque sorte du musée Airborne. Les fondations creusées, ils vont poser des plots et couler la dalle d'une surface de 1 527 m2 dans laquelle ils vont aménager un berceau où prendra place le C47. La structure sera montée autour de l'avion. »
La terre retirée par les pelleteuses est stockée en bout de chantier. La terre végétale sera récupérée pour aménager le paysage, le reste sera évacué.
C'est en 2005-2006 que le projet d'une nouvelle structure est né. Avec l'idée de répondre aux attentes d'un public plus jeune, plus avide de sensation. Après bien des péripéties, des remaniements et des inquiétudes sur le financement, ce projet était enfin finalisé courant 2012. « Le Crédit agricole est notre partenaire. C'est le seul », précise Albert Lahaye, le trésorier de l'association du musée Airborne. Quant à la construction, « il reste encore le lot peinture et le lot paysage à attribuer et bien sûr les lots de la muséographie pour lesquels les appels d'offres seront lancés dès le bâtiment terminé. »
Et d'avouer : « Quand on a vu les premières grues, on s'est dit : enfin ça commence. » Le bâtiment sera livré début 2014. Il ne restera que deux ou trois mois pour préparer la muséographie et ouvrir au public le 6 juin 2014.
Le principe de la muséographie de ce nouveau bâtiment s'appuie sur l'immersion du visiteur dans l'atmosphère des parachutages.
Départ sur le tarmac des terrains d'aviation anglais, vol, tirs de Flack, saut dans la nuit normande peu rassurante... Éric Belloch promet tout à la fois « du spectaculaire, de l'émotion, de l'efficace, tout en collant à la réalité historique. Bien qu'elle ait été revue à la baisse, la muséographie ne sera pas un élément au rabais. Ce sera de qualité. »
Et d'entretenir le suspense : « Tout n'a pas été dévoilé. »
Ce bâtiment abritera la carlingue d'un C47 pour faire vivre aux visiteurs les heures angoissantes du parachutage du 6 juin 1944.
Après avoir monté une zone de vie et tracer les chemins d'accès du chantier, les choses sérieuses ont commencé dès mercredi. « En ce moment, ils creusent les fondations de ce nouveau bâtiment, explique Erich Belloch, le second en quelque sorte du musée Airborne. Les fondations creusées, ils vont poser des plots et couler la dalle d'une surface de 1 527 m2 dans laquelle ils vont aménager un berceau où prendra place le C47. La structure sera montée autour de l'avion. »
La terre retirée par les pelleteuses est stockée en bout de chantier. La terre végétale sera récupérée pour aménager le paysage, le reste sera évacué.
C'est en 2005-2006 que le projet d'une nouvelle structure est né. Avec l'idée de répondre aux attentes d'un public plus jeune, plus avide de sensation. Après bien des péripéties, des remaniements et des inquiétudes sur le financement, ce projet était enfin finalisé courant 2012. « Le Crédit agricole est notre partenaire. C'est le seul », précise Albert Lahaye, le trésorier de l'association du musée Airborne. Quant à la construction, « il reste encore le lot peinture et le lot paysage à attribuer et bien sûr les lots de la muséographie pour lesquels les appels d'offres seront lancés dès le bâtiment terminé. »
Et d'avouer : « Quand on a vu les premières grues, on s'est dit : enfin ça commence. » Le bâtiment sera livré début 2014. Il ne restera que deux ou trois mois pour préparer la muséographie et ouvrir au public le 6 juin 2014.
Le principe de la muséographie de ce nouveau bâtiment s'appuie sur l'immersion du visiteur dans l'atmosphère des parachutages.
Départ sur le tarmac des terrains d'aviation anglais, vol, tirs de Flack, saut dans la nuit normande peu rassurante... Éric Belloch promet tout à la fois « du spectaculaire, de l'émotion, de l'efficace, tout en collant à la réalité historique. Bien qu'elle ait été revue à la baisse, la muséographie ne sera pas un élément au rabais. Ce sera de qualité. »
Et d'entretenir le suspense : « Tout n'a pas été dévoilé. »