Carentan
Posté : 21 oct., 23:02
En naviguant sur le net j'ai trouvé un poême sur Carentan!!!
Les arbres en vieux jours pour tenir et former une ruelle ombreuse où les amoureux ont erré de pair qui est venu de Carentan.
C'était le canal vert brillant où nous sommes venus deux par deux marchant au combattre-intervalle.
De tels arbres que nous n'avons jamais connus.
Le jour était de début juin, la terre était molle et lumineuse avec la rosée.
Lointain les pistolets ont retenti, mais ici le ciel était bleu.
Le ciel était bleu, mais là une fumée toujours accrochée au-dessus de la mer où les bateaux ont ensemble parlé aux villes que nous ne pourrions pas voir.
Pourriez vous nous avoir vus par un verre que vous auriez dit une promenade des fermiers dehors pour tourner l'herbe, chacun avec sa propre foin-fourchette.
Les observateurs dans leurs costumes de léopard ont attendu jusqu'à ce qu'il ait été temps, et visé entre la ceinture et l'initialisation et ont laissé le baril s'élever.
Je dois me coucher immédiatement, il y a marteau d'A à mon genou. Et l'appeler la mort ou la poltronnerie, ne comptent pas encore sur moi. Tout toute la droite, mère, chacun obtient la même chose en même temps ou une autre. Il est toute dans le jeu.
Je n'ai jamais flâné, ni jamais, avaler une ruelle si feuillue.
Je n'ai jamais bu dans un canal, ni jamais encore.
Il y a siffler dans les feuilles et ce n'est pas le vent, les brindilles tombent des couteaux qui coupent des hommes à la terre.
Dire me, à Maître-Sergent, la manière de tourner et tirer.
Mais le sergent silencieux au lequel m'a enseigné comment la font. Le capitaine d'O, nous montrent rapidement notre endroit sur la carte.
Mais le capitaine maladif et prenant un long somme. Le lieutenant, ce qui est mon devoir, mon endroit dans le peloton ?
Il aussi. beauté de sommeil d'A.
charmée par cet air étrange.
Carentan O Carentan avant que nous ne nous ayons jamais rencontrés toi pourtant avions perdu un homme ou avions su ce que la mort pourrait faire.
Louis Simpson
Voilà
a+
Les arbres en vieux jours pour tenir et former une ruelle ombreuse où les amoureux ont erré de pair qui est venu de Carentan.
C'était le canal vert brillant où nous sommes venus deux par deux marchant au combattre-intervalle.
De tels arbres que nous n'avons jamais connus.
Le jour était de début juin, la terre était molle et lumineuse avec la rosée.
Lointain les pistolets ont retenti, mais ici le ciel était bleu.
Le ciel était bleu, mais là une fumée toujours accrochée au-dessus de la mer où les bateaux ont ensemble parlé aux villes que nous ne pourrions pas voir.
Pourriez vous nous avoir vus par un verre que vous auriez dit une promenade des fermiers dehors pour tourner l'herbe, chacun avec sa propre foin-fourchette.
Les observateurs dans leurs costumes de léopard ont attendu jusqu'à ce qu'il ait été temps, et visé entre la ceinture et l'initialisation et ont laissé le baril s'élever.
Je dois me coucher immédiatement, il y a marteau d'A à mon genou. Et l'appeler la mort ou la poltronnerie, ne comptent pas encore sur moi. Tout toute la droite, mère, chacun obtient la même chose en même temps ou une autre. Il est toute dans le jeu.
Je n'ai jamais flâné, ni jamais, avaler une ruelle si feuillue.
Je n'ai jamais bu dans un canal, ni jamais encore.
Il y a siffler dans les feuilles et ce n'est pas le vent, les brindilles tombent des couteaux qui coupent des hommes à la terre.
Dire me, à Maître-Sergent, la manière de tourner et tirer.
Mais le sergent silencieux au lequel m'a enseigné comment la font. Le capitaine d'O, nous montrent rapidement notre endroit sur la carte.
Mais le capitaine maladif et prenant un long somme. Le lieutenant, ce qui est mon devoir, mon endroit dans le peloton ?
Il aussi. beauté de sommeil d'A.
charmée par cet air étrange.
Carentan O Carentan avant que nous ne nous ayons jamais rencontrés toi pourtant avions perdu un homme ou avions su ce que la mort pourrait faire.
Louis Simpson
Voilà
a+

