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résistant
Posté : 10 juil., 13:35
par mikou
il a dû avoir la médaille des Justes alors ...
résistant
Posté : 10 juil., 17:44
par micropanzer
je ne sais pas normalement oui ?
En tout cas il ne s'en est jamais vanté.
résistant
Posté : 10 juil., 17:48
par mikou
micropanzer a écrit :En tout cas il ne s'en est jamais vanté.
Je pense que c'était une chose "banale" si je peux dire. En faisant ça, je pense que les "Justes" n'y voyaient pas un acte héroïque.
résistant
Posté : 10 juil., 17:50
par micropanzer
Oui, ce que tu dit est tout à fait pertinent. D'après ce que j'ai entendu, les "Justes" ont juste fait ça par "principe" si l'on peut dire ça comme ça.
résistant
Posté : 10 juil., 17:52
par mikou
Une manière de résistance.
résistant
Posté : 10 juil., 17:57
par micropanzer
eh oui, d'ailleurs mon arrière grand mère possédait une immense ranc?ur envers les Allemands qui avait persécuté sa patrie. A la fin d'un repas elle disait toujours: "Encore un que les Boches n'auront pas !"
C'est quand même malheureux cette guerre..
résistant
Posté : 10 juil., 18:09
par mikou
C'est marrant ... Cette phrase je jurerais l'avoir déjà entendu quelque part.
résistant
Posté : 10 juil., 18:10
par micropanzer
Bah... elle ne l'a sûrement pas inventée ! Ça doit bien venir de quelque part !
résistant
Posté : 07 août, 14:03
par Olivier
Elle était très courante durant l'exode en France. D'ailleurs, les pilleurs de maisons vides s'en servaient comme d'une justification. Oui, oui, c'était bien des français qui pillaient. Henri Amouroux en parle très bien dans sa série "La vie des français sous l'occupation".