le colonel louis mendez
Posté : 15 mai, 18:54
( 508th PIR 82 airborne )
" ..... j'avais le commandement du 3e bataillon, que je ne pu retrouver que 5 jours plus tard. nous nous sommes retrouvés dans les problemes des notres atterissages. la dca etait terrible ! nous avons sauté à environs 700 metres, avec l'ensemble de notre formation, ce qui etait une altitude trop elevee. en verifiant plus tard mon sac a dos, je vis que 3 trous de balles l'avais perforé, pendant ma longue descente. J'atterris vers 2h30 du matin, je ne vis personne pendant 5 jours, a l'exeption de mon messager .....
les allemands avaient un don pour la comunication. nous avions l'impression d'etre poursuivis en permanence par des groupes de chasse de parachutistes de 60 hommes environ, qui semblaient toujours nous attendre. plus tard, je retrouvais trois hommes, un officier en plus de mon messager. la chose la plus extraordinnaire que j'appris pendant ces quelques jours d'errance, fut la capacité de renseignement des allemands. ils etaient capablent d'utilisée nos noms, nos surnoms pour leurrer nos commandants de compagnies; l'un de mes commandants m'apprit qu'il avait recu un message avec mon noms et mon surnom ! ...... "
j'espere que cette histoire plaira aux membres !!
" ..... j'avais le commandement du 3e bataillon, que je ne pu retrouver que 5 jours plus tard. nous nous sommes retrouvés dans les problemes des notres atterissages. la dca etait terrible ! nous avons sauté à environs 700 metres, avec l'ensemble de notre formation, ce qui etait une altitude trop elevee. en verifiant plus tard mon sac a dos, je vis que 3 trous de balles l'avais perforé, pendant ma longue descente. J'atterris vers 2h30 du matin, je ne vis personne pendant 5 jours, a l'exeption de mon messager .....
les allemands avaient un don pour la comunication. nous avions l'impression d'etre poursuivis en permanence par des groupes de chasse de parachutistes de 60 hommes environ, qui semblaient toujours nous attendre. plus tard, je retrouvais trois hommes, un officier en plus de mon messager. la chose la plus extraordinnaire que j'appris pendant ces quelques jours d'errance, fut la capacité de renseignement des allemands. ils etaient capablent d'utilisée nos noms, nos surnoms pour leurrer nos commandants de compagnies; l'un de mes commandants m'apprit qu'il avait recu un message avec mon noms et mon surnom ! ...... "
j'espere que cette histoire plaira aux membres !!
