Vraiment sympa les musiques
si vous en avez d'autre n'hésiter pas
Chants populaires et militaires
Chants populaires et militaires
voici le chant des paras allemands durant leur formation en 1936 elle sera encore chanté jusqu'en 1945
Rot scheint die Sonne, fertig gemacht,
Wer weiss, ob sie morgen für uns auch noch lacht?
Werft an die Motoren, schiebt Volgas hinein,
Startet los, flieget an, heute geht es zum Feind!
In die Maschinen, in die Maschinen!
Kamerad, da gibt es kein Zurück,
Fern in Osten stehen dunkle Wolken,
Komm mit, und zage nicht, Komm mit!
Klein unser Haüflei, wild unser Blut,
Wie fürchten den Feind nicht und auch nicht den Tod.
Wir wissen nur eines, wenn Deutchanld in Not,
Zu kämpfen, zu siegen, zu sterben den Tod
An die Gewehre, an die Gewehre!
traduction:
Rouge brille le soleil, préparez-vous!
Qui sait s'il sourira encore pour nous demain?
Lancez les moteurs! Mettez plein gaz!
Démarez, prenez votre vol, aujourd'hui on part pour l'ennemi!
Aux machines! Aux machines!
Camarade, là il n'y aura pas de retour
Loin à l'Est il y a de sombre nuages,
Viens avec nous, ne renonce pas, viens avec nous!
Petit est notre groupe, mais sauvage notre sang.
Nous ne craignons pas l'ennemi ni la mort.
Nous ne savons qu'une chose: l'Allemangne est dans la détresse.
Combattre, vaincre jusqu'à l'agonie et la mort!
Aux fusils, Aux fusils!
si quelqu'un pouvait me donner un lien où on peut l'écouter je suis preneur
a+
sim
Rot scheint die Sonne, fertig gemacht,
Wer weiss, ob sie morgen für uns auch noch lacht?
Werft an die Motoren, schiebt Volgas hinein,
Startet los, flieget an, heute geht es zum Feind!
In die Maschinen, in die Maschinen!
Kamerad, da gibt es kein Zurück,
Fern in Osten stehen dunkle Wolken,
Komm mit, und zage nicht, Komm mit!
Klein unser Haüflei, wild unser Blut,
Wie fürchten den Feind nicht und auch nicht den Tod.
Wir wissen nur eines, wenn Deutchanld in Not,
Zu kämpfen, zu siegen, zu sterben den Tod
An die Gewehre, an die Gewehre!
traduction:
Rouge brille le soleil, préparez-vous!
Qui sait s'il sourira encore pour nous demain?
Lancez les moteurs! Mettez plein gaz!
Démarez, prenez votre vol, aujourd'hui on part pour l'ennemi!
Aux machines! Aux machines!
Camarade, là il n'y aura pas de retour
Loin à l'Est il y a de sombre nuages,
Viens avec nous, ne renonce pas, viens avec nous!
Petit est notre groupe, mais sauvage notre sang.
Nous ne craignons pas l'ennemi ni la mort.
Nous ne savons qu'une chose: l'Allemangne est dans la détresse.
Combattre, vaincre jusqu'à l'agonie et la mort!
Aux fusils, Aux fusils!
si quelqu'un pouvait me donner un lien où on peut l'écouter je suis preneur
a+
sim
Chants populaires et militaires
Hymne de l'Infanterie de Marine
Dans la bataille ou la tempête
Au refrain de mâles chansons
Notre âme au danger toujours prête
Brave la foudre et le canon.
Homme de fer que rien ne lasse,
Nous regardons la mort en face
Dans l'orage qui gronde ou le rude combat
En avant ! (bis)
Pour faire un soldat de marine (bis)
Il faut avoir dans la poitrine (bis)
Le c?ur d'un matelot ou celui d'un soldat (bis)
Souvent dans la zone torride
La dent du tigre ou du lion
La fièvre ou la balle homicide
Vient décimer nos bataillons
Alors vers la mère Patrie
On voit crispé par l'agonie,
Dans un suprême effort notre front se retourner
En avant ! (bis)
Et notre regret unanime (bis)
Chère France, ô pays sublime ! (bis)
C'est de n'avoir qu'une vie à donner (bis)
Soit fier soldat de Marine
La victoire aima tes chansons
Et ton front bruni qu'illumine
L'éclat des grandes actions
Du Bosphore à la Martinique
Du Sénégal au pacifique
On voit de ton drapeau resplendir les trois couleurs
En avant ! (bis)
La gloire t'a pris sous son aile (bis)
Car à l'honneur toujours fidèle (bis)
Tu meurs en combattant ou tu reviens vainqueur (bis)
En Crimée à chaque bataille
Nous aussi nous avons pris part
De Malakoff sous la mitraille
Nous escaladions les remparts
A l'aspect de notre uniforme
L'ennemi palissant bien des fois recula
En avant ! (bis)
Et sur notre front qui rayonne (bis)
On peut voir la triple couronne (bis)
Des lauriers de Podor d'Inkermann et d'Alma (bis)
Quand la Prusse inondant la France
Sur nous déchaînait ses fureurs
A ses balles comme à ses lances
Nous avons opposé nos c?urs
Et quand rugissait la bataille
Nos fronts meurtris par la mitraille
Sanglants mais indomptés défiaient les vainqueurs
En avant ! (bis)
A Bazeilles, la Cluze et Neuville (bis)
En combattant cent contre mille (bis)
Le succès nous trahit mais nous gardions l'honneur (bis)
Sans cesse prêts à tout combattre
Vaillants soldats de nos grands ports
Non, rien ne saurait vous abattre
Vous qui ne comptez point vos morts
Vous réduisez Chinois, Canaques
A vous Madagascar, l'Anaux et le Tonkin
En avant ! (bis)
Aussi le ciel sous sa coupole (bis)
Inscrit encore en aurole (bis)
Sontay et Nouma, Tamatave et Pékin (bis)
Un jour viendra chère espérance
Où l'ardent appel des clairons
Fera surgir pour notre France
Des vengeurs et nous en serons
Alors pour nous quelle fête
Nous donnerons des soeurs cadettes
Aux victoires d'Ina, d'Auerstadt, de Stettin
En avant ! (bis)
Oui nous aimons les saintes guerres (bis)
Car le sang des héros nos pères (bis)
Dans nos veines en feu ne coule pas en vain (bis)
Dans la bataille ou la tempête
Au refrain de mâles chansons
Notre âme au danger toujours prête
Brave la foudre et le canon.
Homme de fer que rien ne lasse,
Nous regardons la mort en face
Dans l'orage qui gronde ou le rude combat
En avant ! (bis)
Pour faire un soldat de marine (bis)
Il faut avoir dans la poitrine (bis)
Le c?ur d'un matelot ou celui d'un soldat (bis)
Souvent dans la zone torride
La dent du tigre ou du lion
La fièvre ou la balle homicide
Vient décimer nos bataillons
Alors vers la mère Patrie
On voit crispé par l'agonie,
Dans un suprême effort notre front se retourner
En avant ! (bis)
Et notre regret unanime (bis)
Chère France, ô pays sublime ! (bis)
C'est de n'avoir qu'une vie à donner (bis)
Soit fier soldat de Marine
La victoire aima tes chansons
Et ton front bruni qu'illumine
L'éclat des grandes actions
Du Bosphore à la Martinique
Du Sénégal au pacifique
On voit de ton drapeau resplendir les trois couleurs
En avant ! (bis)
La gloire t'a pris sous son aile (bis)
Car à l'honneur toujours fidèle (bis)
Tu meurs en combattant ou tu reviens vainqueur (bis)
En Crimée à chaque bataille
Nous aussi nous avons pris part
De Malakoff sous la mitraille
Nous escaladions les remparts
A l'aspect de notre uniforme
L'ennemi palissant bien des fois recula
En avant ! (bis)
Et sur notre front qui rayonne (bis)
On peut voir la triple couronne (bis)
Des lauriers de Podor d'Inkermann et d'Alma (bis)
Quand la Prusse inondant la France
Sur nous déchaînait ses fureurs
A ses balles comme à ses lances
Nous avons opposé nos c?urs
Et quand rugissait la bataille
Nos fronts meurtris par la mitraille
Sanglants mais indomptés défiaient les vainqueurs
En avant ! (bis)
A Bazeilles, la Cluze et Neuville (bis)
En combattant cent contre mille (bis)
Le succès nous trahit mais nous gardions l'honneur (bis)
Sans cesse prêts à tout combattre
Vaillants soldats de nos grands ports
Non, rien ne saurait vous abattre
Vous qui ne comptez point vos morts
Vous réduisez Chinois, Canaques
A vous Madagascar, l'Anaux et le Tonkin
En avant ! (bis)
Aussi le ciel sous sa coupole (bis)
Inscrit encore en aurole (bis)
Sontay et Nouma, Tamatave et Pékin (bis)
Un jour viendra chère espérance
Où l'ardent appel des clairons
Fera surgir pour notre France
Des vengeurs et nous en serons
Alors pour nous quelle fête
Nous donnerons des soeurs cadettes
Aux victoires d'Ina, d'Auerstadt, de Stettin
En avant ! (bis)
Oui nous aimons les saintes guerres (bis)
Car le sang des héros nos pères (bis)
Dans nos veines en feu ne coule pas en vain (bis)
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- Inscription : 08 sept., 23:00
Chants populaires et militaires
En t'engageant dans les Marsouins
En t'engageant dans les Marsouins
T'iras peut-être chez les bédouins.
Il ne faut pas avoir de faiblesse,
Les voyages forment la jeunesse,
Tu verras Madagascar,
T'en reviendras un lascar.
Quand t'auras vu du pays
Nous vivrons en rentier à Paris.
Tu as tes dix-huit ans mon gaillard,
Aux coloniaux sans réticences
Engage-toi, dis un vieux gaillard
A son enfant qui le gênait de sa présence.
Ta mère n'est plus, mais j'ai ta part
Et tous ces biens sous ma gérance.
Cet argent-là c'est ton avenir
Je le garde pour quand tu vas revenir,
Et plus loin tu t'en iras,
Plus mon gaillard tu fortuneras.
Mais à peine son fils embarqué,
Déjà partout la salle rosse,
Avec des femmes se faisait remarquer,
Pendant trois ans il fit la noce ;
Lorsqu'un beau jour, tout détraqué
Il reçut la lettre de son gosse :
"Mon bon papa je suis libéré
Avec la classe qui va rentrer
Tu vois qu'ça n'a pas été long,
Je reviens avec mon premier galon."
"Je suis sergent dans les Marsouins,
Je t'écris de chez les bédouins,
J'ai fait mon temps en Afrique,
J'ai le teint couleur de brique.
Je connais Madagascar,
J'suis d'aplomb comme un brisquard.
Maintenant qu'j'ai vu du pays,
J'serai bientôt dans tes bras à Paris."
Lorsqu'il vit son teint bronzé
Avec son galon et sa médaille,
A ses pieds le vieux s'est agenouillé
En lui disant : "Je suis une canaille,
Je n'ai plus rien, j't'ai mis sur la paille.
Fais de moi ce que tu voudras mon enfant,
Je mérite le plus dur châtiment." (bis)
Il lui répondit : " Papa lève-toi
Je te caserai, mais quant à moi,
Je retourne chez les Marsouins.
Va il ne te manquera pas de pain,
Je te mettrai dans un asile
Où les femmes t'y laisseront tranquille.
Au pays de l'abricot
Le soleil vous tape sur l'Kongolo
Mais aussi vrai que j'te dis,
Y'a moins de chameau qu'à Paris"
En t'engageant dans les Marsouins
T'iras peut-être chez les bédouins.
Il ne faut pas avoir de faiblesse,
Les voyages forment la jeunesse,
Tu verras Madagascar,
T'en reviendras un lascar.
Quand t'auras vu du pays
Nous vivrons en rentier à Paris.
Tu as tes dix-huit ans mon gaillard,
Aux coloniaux sans réticences
Engage-toi, dis un vieux gaillard
A son enfant qui le gênait de sa présence.
Ta mère n'est plus, mais j'ai ta part
Et tous ces biens sous ma gérance.
Cet argent-là c'est ton avenir
Je le garde pour quand tu vas revenir,
Et plus loin tu t'en iras,
Plus mon gaillard tu fortuneras.
Mais à peine son fils embarqué,
Déjà partout la salle rosse,
Avec des femmes se faisait remarquer,
Pendant trois ans il fit la noce ;
Lorsqu'un beau jour, tout détraqué
Il reçut la lettre de son gosse :
"Mon bon papa je suis libéré
Avec la classe qui va rentrer
Tu vois qu'ça n'a pas été long,
Je reviens avec mon premier galon."
"Je suis sergent dans les Marsouins,
Je t'écris de chez les bédouins,
J'ai fait mon temps en Afrique,
J'ai le teint couleur de brique.
Je connais Madagascar,
J'suis d'aplomb comme un brisquard.
Maintenant qu'j'ai vu du pays,
J'serai bientôt dans tes bras à Paris."
Lorsqu'il vit son teint bronzé
Avec son galon et sa médaille,
A ses pieds le vieux s'est agenouillé
En lui disant : "Je suis une canaille,
Je n'ai plus rien, j't'ai mis sur la paille.
Fais de moi ce que tu voudras mon enfant,
Je mérite le plus dur châtiment." (bis)
Il lui répondit : " Papa lève-toi
Je te caserai, mais quant à moi,
Je retourne chez les Marsouins.
Va il ne te manquera pas de pain,
Je te mettrai dans un asile
Où les femmes t'y laisseront tranquille.
Au pays de l'abricot
Le soleil vous tape sur l'Kongolo
Mais aussi vrai que j'te dis,
Y'a moins de chameau qu'à Paris"