Staff Sergeant Tom Rice en Normandie

Le front de l'Ouest ne se limite pas à la bataille de Normandie : discutez ici des autres grandes batailles !
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Gennaker
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Les allemands croyaient qu'un sniper qui venait de tuer un américain pouvait, s'il était isolé sans issue pour s'échapper, sauter de son arbre ou de l'endroit où il se cachait, lever les bras et être reçu avec les honneurs de la guerre. Nous ne voyions pas les choses de la même manière, et nous le descendions sans autre forme de procès.Si un"Heinie" (surnom donné aux allemands par les GIs' ndlr) commençaient à rouspéter ou à gueuler alors qu'il avait les mains en l'air, dans le but d'alerter ses petits camarades, on le passait à tabac! Tout allemand qui se rendait en gueulant comme un putois, était ainsi condamné. Nous acceptions les rédditions, mais sans ces trucs vicieux.
Je venais de passer mon premier examen de survie avec cette première nuit de guerre. Il y en aurait beaucoup d'autres à venir. Certaines me seraient presque fatales. Plus la guerre durerait, plus mes chances d'être tué ou blessé augmenteraient. Je pouvais augmenter les statistiques de pertes en entrant dans une de ces trois catégories ; maladie ou blessure extérieure au combat, WIA ou SIW (Self Inflicted Wound ndlr).

La Normandie était devenue comme un cours accéléré de guerilla, du genre flics contre voleurs, cowboys contre indiens. On ne savait jamais à quel moment l'un de nous allait être blessé ou tué.
Le First Sergeant Marshall Buckridge m'a appelé à le rejoindre à l'avant de notre groupe car nous étions très bas en munitions, incapable de soutenir un échange prolongé. Je lui dis que je pouvais me charger d'aller chercher des munitions. Il me répondit : "Non, pas toi, prends un volontaire."
Je revins vers mon squad en rampant dans les herbes hautes et demandais des volontaires. Franck Ficarrota, après un long silence, fut le premier à prendre la mesure du sérieux de la situation. Il haussa les épaules et se porta volontaire. Il rampa jusqu'à la barrière du champs et s'en alla. Il chemina par la route qui était parallèle à la haie. A l'intersection suivante, il grimpa par un trou dans une haie, suivi du Lt Ed Janssen. ils restèrent tous deux accroupis en haut du talus quelques instants. C'était de nouveau une situation imprudente et non anticipée comme celle que j'avais vécue en faisant le tour du champs pour ce lieutenant. Franck Ficarotta fut atteint en pleine tête pour être resté trop longtemps exposé accroupi sur ce talus. Son corps sans vie glissa le long du talus. Il n'avait pas dit un mot. Il était mort. son visage était tout violacé. Tony Das, en apprenant la mort de Franck dit : "Oh No! Franckie boy!"; Ils étaient les meilleurs amis du monde. Les soldats de l'infanterie n'ont pas beaucoup le temps de se lamenter. Il n'y avait rien à dire de toute façon. Les soldats de l'infanterie ne peuvent "qu'avaler leur coeur avec leurs larmes".
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converset
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dur!
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Gennaker
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Ed Janssen, C/501, capitaine en fin de guerre...
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Lt Janssen était juste derrière Franck et la balle qui l'a tué a aussi touché Janssen à l'estomac. Lt Janssen allait récupérer de cette blessure et serait avec nous pour le saut sur la Hollande. Dans l'avion qui volait vers les Pays-Bas, un obus de flak a traversé la portière et l'a touché à la jambe. Il a sauté malgré cette blessure et a dû être évacué. Il est mort souffrant toujours de cette blessure qui a débouché sur une amputation en 1994.
Notre patrouille a continué à fouiller individuellement ou deux par deux chaque maison d'Addeville. La tension était grande et nous étions tous mort de trouille. Nous avons rapidement quitté le village en suivant les fossés, et en nous abritant le long des murs et des haies. Alors que je fouillais une maison, je suis passé devant une fenêtre quand un tir de sniper a traversé le carreau, la balle s'écrasant contre le mur du fond, projetant un éclat contre mon genou gauche. J'ai eu l'impression qu'on venait de frapper avec un marteau pilon. Et pourtant la balle avait perdu de sa vélocité en frappant le mur! J'ai pu retirer la balle qui était resté dans les plis de mon jump pants. J'ai regardé et vu que ma blessure était superficielle. Les courageux se font blesser autant que les lâches, car les éclats d'obus se moquent de l'état d'esprit des soldats qu'ils frappent.

On a enduré l'insoutenable, car la nervosité au combat agit comme une maladie. Vous la subissez sans pouvoir l'arrêter, alors que cela vous dévore de l'intérieur. On réalise que toutes les fonctions vitales sont à l'arrêt. On perd du poids, on perd le sommeil, on perd l'appétit... et on adore la vibration de son arme quand on presse la détente..."
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Gennaker
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THE FIGHT FOR LA BARQUETTE
"Toute l'action semblait concentrée devant moi, au bas de la route. Je voyais la route empierrée, pleine de flaques d'eau qui brillaient dans la lumière de l'aube. Toute mon énergie me poussait vers l'action. Il y avait un grand rassemblement de troopers du 501st et du 506th dans un champs. Tous avaient été mal largués quelques heures auparavant.
Major Allen, bouillant d'énergie, rassemblait tout ce beau monde à Basse Addeville, à deux km au Nord Ouest de l'écluse de la barquette. L'organisation de ces paras se passait en bon ordre et des groupes de troopers qui avaient réquisitionné du matériel des fermes et qui se faisaient aider par des paysans normands partaient dans les champs environnants à la recherche des equipment bundles pour en équiper les squads. Il nous fallait sérieusement trouver de l'approvisionnement en armes et en munitions. Nous n'avions que ce que nous avions pu emporter sur nous pour sauter. Un M 3 ou un poignard perso n'allait pas suffire au boulot qui nous attendait. Lors de cette quête pour les bundles, on a dû livrer un certain nombre d'escarmouches avec les allemands, et nous avons déplorer des pertes légères. Les petites charrettes des fermiers nous servaient à emporter le plus invraisemblable bric à brac militaire. Tout ce dont nous n'avions pas besoin, nous l'avons jeté, particulièrement le masque à gaz. Les grenades étaient un ustensile particulièrement recherché.

A 1 heure 30 du matin, le stick de l'avion du Colonel Johnson avait été longuement retardé par un bundle coincé dans la portière du C 47. Lumière verte allumée, et empêchés de sauter, les troopers avaient craint d'être largués au dessus de la Manche. Mais au lieu de cela, ils avaient atterri juste en limite de la DZ D. mais l'avion de Johnson avait été brillamment éclairé par l'incendie allumé par les allemands à la ferme Fortin, et tous les soldats avaient pu observer sa descente. D'où l'accueil un peu chaud qu'avait subi le colonel en atterrissant juste devant le portail du château Bel Esnaut, où demeuraient de nombreux officiers allemands. En arpentant la campagne Normande, Johnson avait un peu plus tard pu rassembler des groupes de troopers du 501st et du 506th, et avait fait route vers son objectif de a barquette. Très vite, Johnson avait pu disposer de près de 1150 troopers. En arrivant à l'intersection plus tard rendue célèbre sous le nom de Hell's Corner, Johnson avait divisé son groupe en deux, assignant une centaine d'hommes à la défense de Pénême, faisant face à Utah beach.

Les autres 50 troopers sprintèrent de Hell's corner jusqu'à la rive sud de la Douve où ils s'enterrèrent en position défensive. Le Private Campos fut blessé par mortier lors de la traversée de l'écluse..."
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Gennaker
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Cette action permit aux 501st de passer à son objectif suivant, la route Nationale 13 et le contrôle de ses 4 ponts, ainsi que la destruction de la voie ferrée en direction de Cherbourg. Ceci afin d'empêcher les allemands d'envoyer des tanks et de l'infanterie contre la 4 ID débarquée à Utah, à 6 km plus au nord. Les tirs d'artillerie allemands venant de Carentan contre la RN 13 étaient alors légers et sporadiques.
Les américains avaient été chanceux, d'une certaine manière, car si les allemands avaient ouvert les écluses juste avant le débarquement à Utah, la montée des eaux auraient forcé les 4th et même 29th ID à débarquer plus au nord. Les américains se seraient ainsi vu privés des sorties 1, 2, 3 et 4 qui menaient à Ste Mère Eglise. Ces chaussées, tenues par les paratroopers, auraient ainsi été inaccessibles aux troupes venues par mer. Comme les écluses étaient fermées, le terrain était pratiquables pour les américains comme aux allemands qui ont pu en faire usage défensivement et offensivement. Dans les premières heures de l'invasion, allemands et américains se sont battus pour le contrôle de ces chaussées. Une fois que les américains se sont rendus maîtres des chaussées, on a réalisé que les allemands défendaient très légèrement les écluses car ils avaient minés les pâturages environnants. Ils avaient aussi positionné des nids de mitrailleuses, des mortiers et de l'artillerie en une ceinture à près d'un km tout autour de Carentan, et sur toutes les hauteurs dominant les marais. Leur artillerie avait eu quatre années pour reconnaitre et identifier toutes les cibles possibles du secteur, et ainsi, chaque pouce de terrain leur était connu et facile à couvrir d'un feu meurtrier.
Vers midi, le 6 juin, Johnson, dans le secteur de la barquette, Penême et Hells corner, reçu l'information que Major Allen avait rassemblé à Addeville une force considérable d'environ 150 troopers, chaud bouillant d'aller au combat. Johnson savait qu'il lui fallait des renforts pour atteindre les objectifs de D company 501st, attaquer les ponts, la Nationale et la voie ferrée afin de bloquer la partie sud de la péninsule du Cotentin. un peu plus tôt le matin du 6 juin, Johnson avait envoyé une patrouille de "demolitionist" vers les ponts de la RN 13, avec mission de les faire sauter si les allemands y envoyaient des tanks. La patrouille revint en disant que les ponts étaient très sévèrement défendus. il fallait une force supérieure pour s'en emparer. Colonel Johnson réunit immédiatement une cinquantaine de troopers et fonça vers Addeville pour contacter Allen, qui était déjà engagé avec le FJ6, alors que Ballard connaissait le même sort aux Droueries. Johnson donna l'ordre par radio à Ballard ( Lt Col. Robert A. Ballard, CO 2/501st ) de rompre l'engagement et de se rendre à Addeville ausi vite que possible. L'idée de Johnson était de réunir les forces de Ballard, Allen et la sienne et de s'emparer ou détruite les ponts de la RN 13.

Ballard fit savoir à Johnson qu'il lui était impossible de rompre l'engagement. Il y avait un fort contingent de fallschirmjaeger devant lui et entre lui et Major allen. Johnson s'est beaucoup énervé, et les relations entre les deux hommes en ont été très perturbées par la suite. Johnson voulait à tous prix attaquer et prendre les ponts. Il réunit les soldats d'Allen à Addeville et ordonna à ses hommes d'abandonner leur musette bag et tout équipement : "Stay light!" Nous avons aligné nos affaires dans un pré. On ne les a jamais revues. On a quitté Addeville dans le sillage de Johnson...
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Gennaker
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"Addeville était sous le nez des observateur d'artillerie allemands. On a progressé rapidement. Toutes sortes de pensées nous traversaient l'esprit. L'enfer se déchaina sur ce morceau de péninsule imbibé de sang, des milliers d'hommes déchirés par les chiens de guerre... et la seule pensée qui m'occupait, c'est que j'avais laissé dans ma musette bag un demi kilo de sirop d'érable qui m'avait été donné par une amie de ma mère juste avant que je ne quitte les States. Je l'avais à peine gouté durant le séjour en Angleterre, le gardant pour les mauvais jours... et à présent, il n'e m'en restait rien! En quittant Addeville et en pénétrant en terrain découvert, nous évoluions sous le nez de l'artillerie allemande. Leurs observateurs n'étaient pas très perspicaces, et ne pouvant discerner si nous étions amis ou ennemis, ils n'ouvrirent pas le feu sur nous. Nous parvinmes ainsi à hell's corner, à 200 mètres de la barquette, sans que les allemands ne nous identifient. J'imagine qu'ils savaient que les fallschirmjaeger di Baron colonel von derr Heydte étaient dans les parages. tout le premeir bataillon de von der Heydte contournait Addeville par l'est pour éviter les combats que livraient Major Allen, et rejoindre leur régiment à Carentan. Ce faisant, ils ignoraient que -Johnson tenait Pénême. Ils faisaient ainsi route au sud, laissant Utah beach sur leur gauche, et les marais sur leur droite. Ils évoluaient avec une certaine désinvolture, certains probablement d'être couvert par leur artillerie à Carentan. Pour nous américains planqués dans les fossés et les haies, c'était un spectacle incroyable. On les entendait chanter, alors qu'ils avançaient dans 30 cm d'eau, leurs armes négligemment portées en bandoulière.
Allen et Johnstone organisaient fébrilement leur défense autour de Pénême. Ils disposaient de 150 à 190 hommes. Les gars de Allen qui nous avaient rejoint s'alignèrent au bord de la route à Hell's corner. En voyant avancer les allemands, je réalisai que nous étions largement inférier en nombre, car ce ne sont pas moins de 500 falschirmjaeger qui avançaient vers nous. mais ni eux pas plus que nous, ne semblaient avoir la puissance de feu pour soutenir un long duel...."

"Ils avaient des fusils et des mitrailleuses ; nous avions des mortiers, des mitrailleuses et des grenades. Colonel Johnson ordonna qu'on ne tire que sur son ordre, lorsque les allemands seraient suffisamment prêts de nos lignes. Les allemands impuissants étaient observés par les yeux fiévreux et enragés des bandes de paratroopers disséminées de par et d'autre de la route de Pénème. Ils marchaient dans l'eau des marais, sautant les canaux, sans se douter qu'ils avançaeint droit dans un traquenard. Les fallschirmjaeger avançaient dans l'étau qui enserraient leurs flancs. Ils étaient piégés! D'impatients GI's un peu trop nerveux qu'aucun officier ne contrôlait, ouvrirent le feu par saccade. La lente colonne allemande fut prise sous un feu dévastateur avant de pouvoir plonger au sol. Les américains commencèrent à crier aux allemands de se rendre. L'officier allemand répondit : "Il est encore trop tôt!" Colonel Johnson se risqua dans la "killing zone" pour obtenir un cessez le feu. Il avança sous couvert d'un drap blanc, essuyant des tirs sporadiques. Il put parlementer avec deux soldats allemands. Il leur demanda de dire aux fallschirmjaeger de mettre baionette au canon et de planter leur fusil dans le sol, casque posé sur la crosse, en signe de reddition. Johnson et ses deux plénipotentiaires essuyèrent de nouveau coups de feu qui déclenchèrent une nouvelle fusillade. De nombreux allemands, y compris ceux qui voulaient se rendre, furent tués. Johnson et Pvt Leo Runge laissèrent passer la fusillade, et entamèrent une nouvelle négociation avec l'officier allemand. Le fusillade s'estompa, et les allemands commencèrent à se lever, et à avancer mains levées vers les GI's. Captain Mc Reynolds, le Regimental adjutant venu de Addeville avec Allen, se chargea de s'assurer du désarmement, et du regroupement des allemands sur la rote de Pénême. C'est à ce moment que l'artilerie allemande qui avait observé toute la scène, se décida à déclencher un barrage de 88. De nombreux allemands furent tués, ainsi que captain Mc Reynorlds. Quelques allemands fanatiques essayaient de poursuivre le combat dans les marais. Bientôt, la fusillade cessa.
Dans le même temps, à Addeville, le Regimental Chaplain Francis Sampson commença à recevoir les blessés de Pénême dans la petite Aid Station. Un petit détachement de fallschirmjaeger traversa Addeville désormais non défendue par Allen parti rejoindre Johnson. Les allemands fouillèrent l'Aid Station. Ils emmenèrent Sampson et au bout de 300 mètres, le plaquèrent contre un mur, et armèrent leurs armes. Sampson essaya de réciter une prière, et la seule qui lui vint en tête était le Bénédicité (prière d'avant repas!!) Des coups de feu claquèrent. C'était un sous officier allemand qui tirait en l'air pour attirer l'attention des deux fallschirm qui s'apprêtaient à éxécuter Sampson. Il s'approcha du groupe en courant. C'était un jeune soldat fort bien mis d'environ 25 ans. Il parla aux deux soldats, et dans un anglais approximatif, demanda à Sampson de le suivre. Sampson lui expliqua qu'il était prètre et catholique. Le jeune allemand claqua des talons, se mit au garde à vous et le salua. Il lui dit de retourner vers ses Kameraden. Avant de le quitter, il montra à Sampson, accroché à l'intérieur de sa vareuse, un petit crucifix..."
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"Father Francis Sampson

La Aid station de Sampson à Addeville
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converset
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toujours aussi pationnant ces recis!
:super:
Marc Laurenceau
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Re: Staff Sergeant Tom Rice en Normandie

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Thomas M. Rice a prévu de participer aux commémorations du 75e anniversaire du débarquement. Cerise sur le gâteau, il doit sauter en tandem le 5 juin 2019 vers 11 heures non loin de sa "drop zone" historique, près de Carentan.

On croise les doigts pour qu'il nous parvienne en super santé et que la météo soit clémente !
Marc Laurenceau
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Marc Laurenceau
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Re: Staff Sergeant Tom Rice en Normandie

Message non lu par Marc Laurenceau »

L'aigle a pris son dernier envol : Thomas M. Rice, né le 15 août 1921 et décédé hier, 17 novembre 2022, à 101 ans.

Nous ne l'oublierons pas.
Marc Laurenceau
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Prosper
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Re: Staff Sergeant Tom Rice en Normandie

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R.I.P. Sir,
Il est parti rejoindre ses camarades.
L'Union fait la Force-Eendracht maakt Macht

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