Hitler et ses généraux

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Hitler et ses généraux

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Allez je me lance! Je vais vous parler un petit peu de celui qu'on surnomme "le Führer"! Image Hitler et certes l'un des plus grands criminels du XXeme siècle mais c'est avant tout un un chef de guerre! Il a voulu refonder l'armée en profondeur dès son arrivée au pouvoir. Il créa donc la Wehrmacht (avant appelée la Reichswehr) Il fut d'abord soutenu puisqu'il promettait de renforcer l'armée , mais il a deçu presque tous ses officiers généraux au fur et a mesure que la guerre avancait. Il a cherché très tôt à mettre à la tête de chaque branche de l'armée un homme docile pour avoir les mains libres (il commenca par éliminer Von Blomberg et Von Fritsch). Une infime partie d'entre eux entra même en résistance contre le dictateur.
Finalement, sa croyance aveugle en ses qualités de stratèges l'ont rendues incapable de prendre en considération l'avis de ses subalternes. C'est , à mon avis, l'un des facteurs les plus importants qui permit aux alliés de gagner cette guerre!
voilà si vous voulez d'autres renseignements ce sera avec plaisir, et sinon j'espère que ça vous aura plu! Image
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Hitler et ses généraux

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sans vouloir etre blessant, jacksie...

heureusement que tu étais la, sinon personne ne saurait qui était Hitler... je voudrais rappeler qu'ouvrir un topic, c'est très bien, mais que si c'est pour faire un résumé en quelques lignes de Wikipédia, ça n'apporte rien!

tu n'ouvres pas de réel débat, la! tu ne poses pas de question réelle...

je ne vois pas l'interet d'un tel topic...

dodgevince, modérateur
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Le but de cet article n'est en aucun cas de vous dire "hey salut vous étiez au courant qu'Hitler a existé"? mais plutôt d'engager un débat sur ceci: est-ce que oui ou non sa croyance un peu trop excessive en ses qualités de chef de guerre ont permis aux alliés de gagner cett guerre?
Ceci dit navrée que ceci te paraisse être un résumé de Wikipédia, même si c'était loin d'être le cas! J'imagine que tu ferais mieux bien sûr mais sans doute avais tu trouvé LA réponse à la question bien avant que j'arrive pour rappeler qu'il a existé!
Encore merci pour le ton "un peu" froid...
stan_hudson
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Hitler et ses généraux

Message non lu par stan_hudson »

Voici le sujet que Jacksie tu aurais pu traiter :

Comment Hitler est-il devenu Hitler ?

Nombreuses donc sont les théories échafaudées pour tenter de répondre à cette question. La psychanalyste Alice Miller, qui consacre sa vie à dénoncer les mauvais traitements infligés par les parents aux enfants, évoque une éducation trop autoritaire (ce qu?elle nomme une « pédagogie noire » (2) ayant contribué à faire de lui cet exterminateur. Elle évoque aussi la présence de « sang juif » dans sa lignée : une origine impure qu?il aurait voulue à tout prix dissimuler? en anéantissant l?ensemble du peuple juif. Cette « haine de soi », en tête de liste de ses mobiles criminels, est également défendue par le psychohistorien Robert Waite. Le fait de haïr l?autre au point se souhaiter sa mort par dégoût de soi-même aurait donc poussé Hitler au pire. Des dérèglements d?ordre sexuel sont aussi invoqués par certains psychohistoriens : il aurait été impuissant, il lui aurait manqué un testicule, c?était un malade, un pervers? Son incapacité à avoir des rapports sexuels normaux l?aurait poussé à se libérer de sa frustration en déchargeant son agressivité sur d?innocentes victimes?

Dans son enquête, Ron Rosenbaum conclut sur une position « éthique » : si l?on ne doit pas succomber à la tentation de l?explication unique qui dirait « tout », il faut essayer de comprendre. Car prétendre que Hitler est un mystère tel que les mots ne peuvent tenter de le cerner reviendrait à en faire un dieu du Mal, donc à « lui accorder une victoire posthume ». Sur ce point, nous ne pouvons qu?acquiescer. Un regret toutefois : Rosenbaum n?a pas tiré tout le parti de son enquête. Plutôt que de les énumérer, s?il avait associé entre elles toutes ces hypothèses, il aurait pu justement avoir une idée claire de la structure psychique de Hitler. Certes, elles n?expliquent pas le pourquoi de la Shoah (qui n?aurait pu avoir lieu sans la participation active et la collaboration complaisante de milliers de personnes) mais elles aident à comprendre le cheminement intérieur de Hitler.

2- ?C?est pour ton bien?, Aubier-Montaigne, 1984.

La psychose paranoïaque

Historiens et psychohistoriens s?interrogent : pourquoi fascinait-il autant ? Pourquoi cette obsession de la race pure ? Etait-il un pervers sexuel ? Se prenait-il réellement pour le « sauveur » de l?Allemagne ? Une chose est sûre : un personnage qui suscite ce type de questionnements a de sérieuses chances d?être atteint de « psychose paranoïaque », une « maladie de la haine », comme l?a définie la psychanalyste Micheline Enriquez (3). Mais attention : il ne faut pas confondre cette pathologie avec la « parano » ordinaire (tendance à se sentir observé, méprisé, insulté sans raison tout en restant capable de faire la part des choses). La psychose paranoïaque est un authentique trouble de la personnalité avec délire (essentiellement délire de persécution et mégalomanie sans limite, souvent assorti de délire mystique). Sa caractéristique : attribuer systématiquement à l?autre ses propres impulsions et désirs. Ainsi, pour se justifier de vouloir éliminer les juifs, Hitler les accusait de désirer la perte de la race aryenne.

3 - ?Aux carrefours de la haine?, Epi (épuisé).

Une carence paternelle grave

Comment devient-on un psychotique paranoïaque ? C?est le résultat d?une carence paternelle grave, expliquent les psychanalystes. Un père inexistant, méprisé par la mère ou, à l?inverse, trop rigide pour permettre à l?enfant d?exister. Si l?on en croit Alice Miller, Hitler n?a jamais pu bénéficier d?une présence paternelle soutenante. Dans l?imaginaire du psychotique, le père est une divinité toute-puissante? et malfaisante. D?où une haine silencieuse du père, un refus de ses origines et souvent le fantasme d?être le point de départ d?une humanité nouvelle.
Ainsi Hitler a fait raser Döllersheim, le village natal de son père. Et la mauvaise image qu?il avait de celui-ci n?est sans doute pas étrangère à sa décision d?exterminer les juifs. Selon les psychanalystes, en effet, parce qu?ils ont inventé le monothéisme, les juifs sont assimilés, dans l?inconscient collectif, aux « Pères » de notre culture. En les éliminant, Hitler exprimait son désir de devenir le père exclusif d?une humanité nouvelle.

SOURCE :

http://www.psychologies.com/article.cfm ... Hitler.htm
stan_hudson
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Hitler et ses généraux

Message non lu par stan_hudson »

En raison de ses difficultés avec ses origines, le paranoïaque très gravement atteint se prend volontiers pour un personnage hors du commun, allant même jusqu?à imaginer parfois être le Fils de Dieu ! Il est souvent convaincu d?être en communication télépathique avec le Tout-Puissant qui lui envoie des signes pour le guider. Chez Hitler, on repère des éléments de ce délire mystique. Dans ses discours, il se qualifie lui-même de « prophète » et prétend transmettre des « prophéties ». Il se dit « mandaté par la Providence pour combattre les juifs ». L?un de ses confidents rapporte qu?il était persuadé que Nostradamus annonçait sa venue et sa « mission ».

Comme le moi et l?identité sexuelle du psychotique paranoïaque sont mal définis, ses points de repère menacent à tout moment de disparaître. Ainsi hait-il souvent les femmes : à leur contact, il craint d?être castré, féminisé. Une féminisation qui atteindrait réellement son corps, ses organes génitaux. Ses difficultés avec son identité sexuelle créent d?ailleurs une forme d?homosexualité spécifique associant adoration des emblèmes de la virilité et haine des homosexuels : en réalité, c?est sa propre féminité intérieure que le paranoïaque rejette. Hitler, lui, était fasciné par les soldats nazis, les hommes sportifs et blonds, les Aryens de « race pure »? Il a ordonné la déportation et l?extermination des homosexuels.

Pour le paranoïaque, l?autre est, par définition, l?ennemi, précisément parce qu?il lui ressemble trop. Il constitue donc une menace pour son identité. Comment est née la haine de Hitler pour le « juif », cet autre redoutable ? Le dictateur l?explique à son insu dans un passage de ?Mein Kampf? : « Un jour que je traversais la vieille ville [de Vienne], je rencontrai tout à coup un personnage en long caftan avec des boucles de cheveux noirs. Est-ce là un juif ? Telle fut ma première pensée. [...] J?examinais l?homme à la dérobée et prudemment, mais plus j?observais ce visage étranger et scrutais chacun de ses traits, plus la première question que je m?étais posée prenait dans mon cerveau, une autre forme : est-ce là aussi un Allemand ? » Propos que l?on peut aisément compléter. S?il est allemand, que suis-je, moi ? Cet autre menace mon être ! Et la terreur se double d?une haine viscérale. Pour le paranoïaque, le « moi » et l?« autre » ne peuvent coexister. D?ailleurs, Hitler haïssait les mélanges interéthniques qu?il qualifiait d?« incestueux ».

Ce « juif », Hitler le voit partout. Il pullule, c?est un « poison », un « empoisonneur », une « maladie », une « bactérie »? S?il déteste à ce point les communistes, c?est qu?il voit en eux un masque du « juif ». Le « persécuteur » le nargue et se moque de lui. Mais, c?est sûr, pense-t-il, il sera le plus fort. Les juifs prétendent avoir une religion ? Hitler est convaincu qu?il s?agit là encore d?un masque.

« La religion de Moïse n?est rien d?autre que la doctrine de la conservation de la race juive », écrit-il dans ?Mein Kampf?, cette race dont le « ?parasitisme? fait souffrir toute l?humanité ». Naturellement, le « juif » est responsable de toutes ses frustrations : s?il n?a pu intégrer les Beaux-Arts (il était persuadé d?être un grand peintre), c?est sa « faute ».

Pour le psychanalyste Jacques Lacan, la psychose paranoïaque suppose toujours la présence d?hallucinations verbales. Hospitalisé en 1918 après avoir respiré des gaz toxiques, Hitler souffre d?une cécité hystérique (sans cause organique) à la suite de laquelle il affirme avoir entendu une voix lui annonçant qu?il serait le « sauveur » de l?Allemagne. Sa chute dans l?univers de la folie remonte probablement à cet épisode.
Pourtant, même s?il entrait en transe dès qu?il prononçait le mot « juif », Hitler ne semblait pas fou. En effet, le paranoïaque délire souvent à bas bruit, à l?insu de son entourage. En outre, il fait preuve d?une logique sans faille : ses raisonnements sont très difficiles, sinon impossibles, à démonter. Son pouvoir de conviction est tel qu?il hypnotise ceux qui l?écoutent. Son art de la rhétorique et son utilisation du langage fascinent (les paranoïaques ont souvent un succès certain dans le monde politique
et, notamment, au sein des partis extrémistes qui font de la haine
de l?autre une profession de foi).

Convaincant et convaincu, le paranoïaque s?efforce toujours d?aller au bout de ses objectifs. Quitte à cesser de dissimuler sa démence. Ainsi, peu avant la fin de la guerre, alors que la situation de ses troupes sur le front de l?Est était critique, Hitler préféra nier cette réalité et refusa d?envoyer du ravitaillement, des vêtements chauds, des munitions. Mentalement, il avait programmé sa victoire. Les événements lui donnaient tort ? Ce réel-là ne pouvait pas exister !

Dès les années 20, son programme était au point. Sa volonté d?anéantir les ennemis de la race aryenne et d?envahir l?Europe pour donner au Reich un espace vital acceptable apparaît en toutes lettres dans ?Mein Kampf?. Toutefois, la détermination n?exclut pas la ruse. Le paranoïaque est tout sauf un naïf ! Il fait ce qu?il dit, mais ce qu?il dit, il n?éprouve pas forcément le besoin de le dire clairement. Hitler et ses complices utilisaient systématiquement un langage codé compris des seuls « élus » : ils parlaient, par exemple, de « solution finale » pour n?avoir pas à formuler « extermination ». Le psychotique paranoïaque est volontiers un adorateur du secret, des choses occultes, des cérémonies initiatiques, des mystères. Hitler était lui-même un grand admirateur des rites maçonniques?

Dire de Hitler qu?il était un malade mental l?excuse-t-il ? Certes non ! Selon de nombreux psychiatres et psychanalystes, un psychotique peut résister au commandement de voix hallucinées et au délire qui le pousse au pire. L?immense majorité des personnes souffrant de cette pathologie ne deviennent pas des assassins ! Certes, un grand paranoïaque mégalomane méprisant le genre humain présente des prédispositions à la carrière de dictateur. Toutefois, une pathologie ne peut, à elle seule, rendre compte de la trajectoire d?un être humain. Il y a toujours quelque chose de mystérieux, d?imprévisible dans nos destins individuels. Il faut compter avec le contexte historique, le poids du hasard et des rencontres, bonnes et mauvaises. Que le fantasme de Hitler ? « guérir l?Allemagne » ? ait reçu un écho dans celui du peuple allemand ? « trouver un sauveur » ?, a sans doute permis l?ascension du dictateur. Mais cette rencontre ne suffit pas à expliquer la tragédie qui a suivi. Il est d?ailleurs peu probable que celle-ci trouve un jour une explication définitive.

Hitler est mort depuis plus de cinquante ans. Pourquoi alors dresser son portrait clinique ? Parce que, parmi les gouvernants et hommes politiques d?aujourd?hui (et de demain), certains sont peut-être des psychotiques potentiellement dangereux (ne vient-on pas d?accuser de génocide Goran Jelisic, 30 ans, commandant du camp de Luka pour avoir abattu d?une balle à bout portant plus d?une centaine de musulmans ? Il se définissait lui-même comme « l?Adolf serbe de Bosnie »). Mieux vaut savoir que loin d?être des signes de bonne santé mentale certaines caractéristiques (une logique sans faille, une aptitude phénoménale à la répartie de nature à désarçonner le contradicteur, un pouvoir de conviction à toute épreuve, et une habileté de virtuose à jouer avec le langage), peuvent dissimuler une authentique pathologie !

HYPOTHESE :
La faute de Wittgenstein ?

Dernière née des hypothèses pour expliquer la judéophobie de Hitler, celle pour le moins audacieuse du philosophe australien Kimberley Cornish développée dans ?Wittgenstein contre Hitler? (1). Une brouille, à l?âge de 14 ans, avec son camarade de classe Ludwig Wittgenstein ? tenu aujourd?hui pour le « génie » de la philosophie du langage ? en aurait été le détonateur. Le « juif » décrit par Hitler ? cet être haïssable supposé jouir d?une formidable influence dans la sphère politique, médiatique et économique, obstinément internationaliste, trompant son monde grâce à son incroyable faculté d?adaptation ? semble posséder un visage particulier, remarque Cornish? Celui de Ludwig Wittgenstein, issu d?une riche famille juive. Et la haine d?Hitler pour les communistes, identifiés aux juifs, aurait pour origine le propre communisme de Wittgenstein. Mortellement jaloux de son ancien condisciple, Hiler, dans sa mégalomanie, aurait tenté de le détruire? Exterminer tous les juifs pour en frapper un? Même si cette explication est beaucoup trop sommaire, le livre de Cornish (une mine d?informations) mérite d?être lu.

1- Puf, 1998.

AUTRE HYPOTHESE :
Une sexualité ?tordue?


Hitler avait « un comportement sexuel particulièrement abominable avec les femmes », affirme le psychohistorien Robert Waite : « Sur les sept femmes qui eurent des relations intimes avec lui, six commirent un suicide ou une tentative sérieuse. » (1) Eva Braun elle-même tenta de se tuer en 1932, puis en 1935. Selon Konrad Heine, sympathisant nazi, Hitler obligeait ses maîtresses à se soumettre à ses fantasmes masochistes et à ses petits jeux scatologiques et ondinistes (désir d?être aspergé d?urine). Son premier amour, Mimi Reiter, se souvient qu?il ne cessait de différer le moment de s?unir sexuellement à elle. Il lui avait promis le mariage mais, alors qu?elle évoquait son désir d?enfant, il entra dans une crise de rage : « Il n?arrêtait pas de hurler qu?il n?avait pas le temps de s?occuper d?une épouse, qu?il avait une grande mission à remplir. » Ce fut leur dernière rencontre. Qu?Hitler ait eu une sexualité « tordue » n?aurait rien d?étonnant : selon Freud, la psychose paranoïaque est aussi une défense contre l?homosexualité. Certains chercheurs considèrent, eux, que ces bizarreries seraient plutôt dues à l?absence d?un testicule.

1- Cité dans ?Wittgenstein contre Hitler?, K. Cornish, Puf, 1998.

SOURCE :

http://www.psychologies.com/article.cfm ... 634&page=5
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Message non lu par Invité »

heu.. oui c'est sûr que c'est un très bon sujet ! Qui n'est pas vraiment en rapport au mien mais je te l'accorde c'est un sujet qui en vaut le détour. Bref passons inutile de s'attarder la dessus, chacun peut penser ce que bon lui semble sur les articles des autres. En tout cas bravo pour le sujet
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Message non lu par Invité »

bon, alors la on a l'inverse: super documenté, merci stan, mais une question demeure: ou est le débat??

c'est bien joli de faire des posts a rallonge, mais fais les la ou il faut! la tu es carrément hors sujet...

Jacksie: mon ton n'était pas "froid", simplement tu n'a pas formulé ton idée de débat, et lu ainsi ça ressemble à du wikipédia... il eut fallu poser un thème de débat clairement, genre: "au vu de ces infos, pensez vous qu'Hitler..."
la, tu aurais posé un débat clair...

c'est tout...

dodgevince, modérateur pas froid du tout...
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Message non lu par Invité »

Ok j'avais bien compris merci. Simplement désagréable de s'entendre dire que votre travail ressemble à du Wikipédia mais laisse tomber je m'en remettrai. Il y a pas de mal. Après tout peut être qu'a force de chercher on finit par faire des résumés pourris à la wikipédia..
Enfin tant pis pour moi!
Ciao!
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Monty
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Message non lu par Monty »

J'ai entendu dire que en fait, Hitler a été fait par un frère et une soeur... En effet, la mère d'Hitler serait la soeur de son père...
Ca lui aurait donné cette mentalité (malformation).

Maintenant, ragots ou vérité ?
Florence
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Hitler et ses généraux

Message non lu par Florence »

C'est ce qu'explique Norman Mailer ( disparu la semaine dernière ) dans son dernier roman "un chateau en foret".
Nous sommes conscients que ces Américains, là-bas vont à l'abattoir.
"Pauvres bougres" dit Frerking, incidemment à voie basse.....
J'ai moi aussi le sentiment de monter à l'échafaud.

Heinrich Severloh, WN62, Mémoires à Omaha beach
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Membre de l'association : "Les Fleurs de la Mémoire".
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