Journal du D-DAY au 8 mai 1945

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loadplan
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1er aout 1944 bis Image

La 2e division blindée française fait partie du 15e corps. Formée au Maroc en août 1943, qu'elle a quitté en avril 1944 pour l'Angleterre, elle s'y était entraînée sans cesse en vue des futures opérations.
Avec à sa tête le général Leclerc, la 2e D.B. a débarqué le 1er août 1944 dans le secteur d'Utah Beach, près de Carentan. Elle rassemble plus de 5 000 véhicules, 16 000 hommes, organisés en groupements tactiques, deux compagnies médicales (où se trouvent les éléments féminins appelés les Rochambelles et les Marinettes).

en Savoie(73) a Hauteluce
Opération de parachutage le 1er Août 1944 de 899 containers (armes et munitions...) pour la Résistance par 78 B-17 US escortés par des P-38. Le sergent instructeur des US Marines Corps Charles R. Perry saute en parachute pour rejoindre les Résistants. Il trouve la mort, son parachute ne s'ouvrant pas. Il est enterré au cimetière US de Draguignan (83) plot C rangée 11 tombe 2.
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loadplan
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2 aout 1944
À Ankara, le gouvernement de la Turquie rompt ses relations diplomatiques et commerciales avec l'Allemagne.

Dans la Manche, au large de Courseulles-sur-Mer, 58 sous-marins de poche allemand, Marder, attaquent des convois alliés et coulent le destroyer HMS Quorn ainsi que deux autres navires. Seulement 17 sous-marins allemands survivent à la contre-attaque des alliés.

En Normandie, la 3ème armée américaine progresse. Le 8ème corps atteint Dinan et la banlieue de Rennes, à Brittanny. Sur le flanc gauche, une partie de la 1ère armée américaine s'empare de Villedieu lors d'une attaque aux environs de Tessy
kommando.bb
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2 AOUT 1944


Arado 234, août 1944:
des missions pas ordinaires




Le 2 août 1944, la météo est clémente et l'ordre est donné d'effectuer une première reconnaissance. Une météo qui doit être parfaite au-dessus des objectifs, en l'occurrence le port d'Arromanches et les aérodromes. La qualité des photos en dépend. Sommer grimpe dans son appareil par la verrière avant droit. L'avion a été hissé sur son chariot de décollage. Les techniciens vérifient les ultimes détails. Autour de l'Arado, on referme les dernières trappes. Auparavant hissé par un tracteur sur le Rollstrasse (piste d'accès aux pistes d'envol, "taxiway") de son hangar souterrain, il est dirigé vers la piste d'envol en béton. De leur côté, les chasseurs à hélice Bf 109 et Focke-Wulf 190 du IV/JG 27 et du I/JG Il font chauffer leur moteur. Ils ont pour rôle d'accompagner au départ et à l'arrivée l'Arado. Ce sont les deux moments où cet appareil peut être abattu par un chasseur allié. Dans son cockpit, une fois arrivé à son point de départ, en bout de piste, Sommer, toujours aidé des derniers techniciens, démarre les réacteurs à l'aide d'un moteur auxiliaire "Riedel" chargé, lui, de lancer les pales des réacteurs.

Des hommes, munis de lances d'incendie, sont prêts à intervenir en cas de problème. Sommer a peu de place dans ce biréacteur pour se mouvoir. Sur sa gauche, les deux manettes à manipuler avec une "main d'ange" qui servent au contrôle des moteurs qu'il laisse monter en régime. Il vérifie une dernière fois ses volets, son gouvernail et sa commande de profondeur. Un bref coup d'?il à l'extérieur lui indique que tout est OK. La radio une fois branchée, il suit les instructions de la tour de contrôle. Paré pour le décollage, doucement l'avion s'ébranle dans un curieux sifflement. Les habitants de Juvincourt, plutôt habitués aux bruits des hélices, regardent de loin l'appareil qui s'élance en direction de l'ouest. Une brève secousse, le chariot s'est décroché et tombe, ralenti par le parachute. Par sécurité, en cas de décollage raté, les trois patins d'atterrissage sont restés sortis. Le temps de les remonter et Sommer aperçoit les chasseurs allemands qui l'encadrent. Tout en vérifiant les multiples instruments de contrôles, il prend de l'altitude pour arriver enfin à douze mille mètres, là où il sera invulnérable, là où ni la Flak (FLugAbwehrKanonen, D.C.A.), ni aucun chasseur, sauf quelques appareils réservés à la surveillance de l'Angleterre, comme les Spitfire stratosphériques, ne peut monter. A huit cents - neuf cents kilomètres/heure, il faut peu de temps pour se rendre au-dessus de la Normandie. Avant d'être sur son objectif, le pilote prépare ses appareils photo (caméras RB 50/30). Devant lui, un périscope lui permet dans ce cas précis essentiellement de surveiller les traînées de condensation. Trop importantes, elles ne manqueraient pas d'attirer vers lui l'attention des servants de DCA. Sommer regarde sa carte et commence ses prises de vues. En bas, c'est la guerre ou presque puisque la zone d'Arromanches n'est plus qu'une base logistique, mais essentielle. Méticuleusement, il photographie tout en trois passes: aérodromes où sont basés les fameux avions "Typhoon" tueurs de chars, transports de troupes, bateaux et même les quelques vergers qui ont résisté à l'assaut du mois de juin. Il est temps de rejoindre la base. Un virage très long, pour ne pas fatiguer la structure de l'avion soumise à de fortes contraintes à cette altitude, et c'est le retour vers l'est, vers Juvincourt.

Tout s'est déroulé sans difficulté. Au-dessus de Soissons, l'Arado, qui a commencé à perdre de l'altitude, rejoint les chasseurs venus le protéger. Juvincourt est en vue. Sommer abaisse le long patin d'atterrissage central et les autres, sous les réacteurs. Il réduit sa vitesse, sort ses volets. Il est parti depuis une heure et demie. Doucement, sans doute en contact radio avec l'opérateur chargé de le guider vers la piste en herbe, il descend régulièrement : deux cents, cent, cinquante mètres puis vingt, dix, il coupe les réacteurs. Grâce à un film des archives de la Luftwaffe, on se rend compte que le choc est énorme, l'appareil glisse vite.
Le pilote sort son parachute de freinage, puis la longue course sur l'herbe verte prend fin. Les trois patins ont tenu! Des hommes accourent vers lui. Dans sa cabine, l'officier-pilote Sommer dégrafe son masque à oxygène, respire un bon coup tout en restant assis sur son siège. Il voit ses camarades lui sourire à travers la verrière. Aidé d'un des techniciens affectés à l'Arado, il enlève les courroies qui l'ont maintenu solidement attaché pendant tout le vol.
A l'extérieur de l'avion, le soleil l'éblouit un instant. Quelques personnes se pressent pour lui serrer la main. Après tout, il s'agit du premier vol au monde de reconnaissance aérienne en avion à réaction.

ImageLes premiers Ar 234 de reconnaissance n'étaient pas encore équipés d'un train d'atterrissage. L'envol s'effectuait à partir d'un chariot tricycle largué au décollage et freiné ensuite par parachute. L'appareils devait, à son retour se poser sur une piste en herbe en glissant sur des patins rétractables. Il était à son tour freiné par un parachute.
Il est probable que cette photo ait été prise à Juvincourt.

Image


2 Août 1944, 16h32. Erich Sommer, depuis son Ar 234, photographie le port artificiel d'Arromanches depuis une altitude de 11 000 mètres. Cette photographie, vraisemblablement transmise au haut état-major allemand par bélinographe, révèle le présence des pontons flottants et de plus de trois cents navires.

Image
Erich Sommer
http://fr.wikipedia.org/wiki/Arado_Ar_234
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kommando.bb
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Au départ,je n'avais pas aperçu la valeur du sujet,puis c'est devenu un jeu de chercher ce fameux sujet pour le poster,maintenant ca enrichi et vient compléter mes connaissances générales.Bien vu loadplan Image
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kommando.bb
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3 AOUT 1944

Une seconde lettre de François Ledoyen,sa précédente remontant au 10 juillet 1944.........

François Ledoyen
3° Division d?Infanterie Canadienne

3 Août 1944
Caen, Normandie, France

Cher père,

Le vaguemestre vient de distribuer le courrier et en raison d’une distribution irrégulière j’ai reçu deux lettres de vous ce même jour.

J'ai été heureux de recevoir enfin de vos nouvelles. Je trouve cependant dommage qu'il y ait des conflits au Québec. Il y a assez de malheur ici pour tout le reste du monde.

Nous sommes définitivement maîtres de Caen depuis le 20 juillet mais il ne reste plus rien de la capitale normande. Rares sont les bâtisses qui tiennent encore debout.
Nous progressons très difficilement à travers le bocage car les soldats allemands, eux, connaissent chaque recoin de la campagne normande. Heureusement que les civils nous apportent une aide précieuse car ils maîtrisent parfaitement le terrain et se relaient pour nous diriger sur des raccourcis à l’abris des canons et des bazookas ennemis.

Je me suis complètement remis de ma blessure à l’épaule. La plaie était superficielle ; la balle allemande n’avait fait qu’effleurer l’os. Je n’ai pu vous écrire plus tôt car après avoir eu quelques jours de répit, j’ai dû retourner au combat. Les chars allemands ont fini par disparaître des collines proches de Caen mais nos Sherman ont subi de lourds dégâts.

Vers le 20 juillet nous avons enfin atteint l’extrême Sud de Caen.
Quelques jours plus tard nous connaissions notre nouvel objectif : avancer le plus possible vers Falaise, petite ville normande, au coeur des installations ennemies. Nous n'étions que deux D.I. et une D.B.. Arrivés sur un petit village, nommé Tilly la Campagne, les divisions allemandes étaient partout. Elles étaient nettement plus nombreuses et mieux armées que nous. Complètement impuissants nous avons fait demi-tour dans la soirée. Par contre nous avons appris deux jours plus tard, le 27 Juillet, que la 2° D.I. Canadienne avait réussi son objectif qui était de s’emparer de la petite ville de Verrières. Mais un régiment de fantassins de cette division a été, paraît-il, complètement anéanti par les tirs des Panzer. Cette opération était suicidaire mais le sacrifice de nos compatriotes a permis aux Américains de continuer d’avancer. C’est du moins la phrase explicative de nos supérieurs.

Je vous laisse car nous levons le camp pour continuer notre progression vers Falaise.

Je vous tiens au courant.

Affectueusement.

Votre fils : François

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loadplan
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4 aout 1944

La colonne allemande qui se dirige vers Le Vigeant, après avoir été attaquée à Pleuville, le 3 août, est un groupement motorisé appartenant au 80ème Corps d’Armée allemand qui est la section rapide n°608. Celui-ci est renforcé par des hommes de la Feldgendarmerie. Ce groupement a pour objectif de mener une action contre le bois de Charroux, au sud de Mauprévoir où des "terroristes" ont été signalés.
Le 4 août, en fin de matinée, vers 11h, la colonne allemande est attaquée par la Résistance à 3 km au sud du Vigeant au bois de Larreau par le maquis E.Kleber de Guénault et Bardel. Les Allemands ripostent sans aucune perte. Peu après, deux sections du maquis envoyées en renfort, sont interceptées lors de la traversée du Vigeant. Les maquisards sont surpris, ils sautent des camions mais sous le feu de l’ennemi 6 sont tués : Louis Quéraud de la première section et cinq de la deuxième section qui sont Joseph Guinet, Jean Dagan, Joseph Alix, Raymond Dulches et François Heintz. Les autres maquisards ont réussi à se camoufler. De plus, deux éclaireurs envoyés par le maquis Adolphe, Marcel Desban et Jean Augris - on trouve aussi Augris avec un y à la fin - sont arrêtés et emmenés pour être exécutés plus loin. Cependant, Marcel Desban, qui est grièvement blessé, fait le mort jusqu’au départ des Allemands. Il survivra à ses blessures alors que Jean Augris succombera aux siennes.
Le bourg est envahi par l’ennemi. Les Allemands sèment la terreur : pillages, saccages, viols, maisons incendiées. Des otages sont conduits à côté du cimetière pour être fusillés devant la mare dont ceux pris au passage de Charroux.

Bilan de cet accrochage : 22 civils et 18 maquisards ont été tués. Les pertes allemandes ont été estimées à 40 morts et blessés.

Le groupe allemand quitte le bourg vers 18h en empruntant la route départementale 10. Un autre accrochage a lieu à 3 km au nord du Vigeant mais la colonne poursuit sa route vers Lussac-les-Châteaux.


À Amsterdam, la famille juive d'Anne Frank, qui se cache dans un grenier depuis juillet 1942, est arrêtée par les Nazis suite à une dénonciation. Les adultes de la famille sont déportés au camp de concentration de Auschwitz alors qu'Anne Frank et sa soeur Margot sont envoyées au camp de Bergen-Belsen.
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5 aout 1944 (J+60)

En Australie, plusieurs prisonniers de guerre japonais tentent de s?échapper d?un camp pendant la nuit à New South Wales. 231 Japonais et 3 gardes sont tués pendant la tentative d?évasion.

Au-dessus de la France occupée, des bombardiers de la RAF détruisent des U-Boat allemands à Brest en utilisant 5.5 tonnes de bombes.

En Angleterre, Churchill demande un rapport sur les capacités de l?armée britannique à utiliser du gaz mortel contre l?Allemagne.

Sur le front de l'est, le 4ème front ukrainien est maintenant opérationnel sur le front allant du sud de la Pologne jusqu?au nord de la Hongrie.
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6 AOUT 1944

En Italie, une partie de la 8ème armée britannique traverse la rivière Arno à Florence.

Dans les îles Mariannes, à Guam, un régiment de la 77ème division américaine subi de lourdes pertes lors d?une contre-attaque japonaise.
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7 aout 1944

À Berlin, le premier procès des conspirateurs du 20 juillet s’ouvre, les accusés sont le feld-maréchal von Witzleben, les généraux Hoepner, Stieff et von Hase, ainsi que les officiers juniors Hagen, Klausing, Bernardis et le comte Peter Yorck von Wartenburg; ils ont travaillé étroitement avec leur idole Stauffenberg. Les avocats de la défense, désignés par la cour, sont plus que ridicules et leur lâcheté est incroyable.
Ils sont tous passablement affaiblis par les traitements infligés par la Gestapo dans leur cellule. Et puisque Goebbels a ordonné que chaque minute du procès soit filmé (afin d’être montré aux troupes et au peuple allemand à titre d’exemple et d’avertissement), on s’est assuré que tous les accusés apparaissent aussi miteux que possible. Ils sont pauvrement vêtus, pas rasés et ils ne portent ni ceinture, ni bretelles pour retenir leur pantalon. Le feld-maréchal, qui avait autrefois fière allure, a l’air d’un vieil homme totalement anéanti. Il est debout dans le box des accusés, retenant tant bien que mal ses pantalons, pendant que le juge en chef le harcèle impitoyablement
« Vous le sale vieux », lui cris Freisler, « Pourquoi vous obstinez-vous à retenir ces pantalons insignifiants ? » Bien que les accusés sachent exactement ce qui les attend, ils se comportent courageusement et avec dignité malgré les efforts persistants de Freisler pour les dégrader et les abaisser. Le jeune Peter Yorck, un cousin de Stauffenberg, est probablement le plus courageux, répondant aux plus insultantes questions calmement sans jamais tenter de cacher son mépris pour le National-socialisme.
« Pourquoi n’êtes-vous pas devenu membre du parti ? » demande Freisler. « Parce que je ne suis pas et ne pourrai jamais être un Nazi, » réplique le comte. Le juge Freisler s’étant ressaisi de cette réponse, il demande davantage d’explications. Yorck tente de s’expliquer : « Monsieur le Président, j’ai déjà déclaré lors de mon interrogatoire que l’idéologie Nazi, telle que je… » Le juge l’interrompt, « Vous n’adhérer pas à la conception Nationale-socialiste de la justice, par exemple, en ce qui a trait au déracinement des juifs ? » « Le plus important dans toute l’argumentation, » réplique Yorck, « c’est la revendication totalitaire de l’État sur l’individu qui le pousse à renoncer à sa morale et à ses obligations religieuses envers Dieu. »

« Absurde! » s’écrit Freiser et il interrompt définitivement le jeune homme. De tels propos peuvent empoisonner le film du docteur Goebbels et enrager le Führer qui a décrété « Pas de long discours pour eux. »
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loadplan
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8 Aout 1944

En Pologne occupée, à Varsovie, l'armée polonaise prend le contrôle de la majorité du territoire de la ville et s'empare d'une quantité considérable d'armes allemandes et d'équipement.

En Bretagne, le 8ème corps américain continue d'attaquer les ports qui sont aux mains des Allemands.

À Berlin, le général SS Bach-Zelewski est nommé pour commander les forces allemandes désignées pour mettre fin au soulèvement à Varsovie. Les unités disponibles sont prises des SS, de la police et des bataillons disciplinaires.
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