En 2004/2005, quand j'ai suivi les vétérans U.S. en Bastogne, on as parlé énormement sur le froid.
Je cite Pat Murphy, qui était comme infantryman à Bastogne :
"Nous étions vert derrières les oreilles, et voila la plus grande offensive allemande qui nous surprise..." Mes combat étaient en fêutre, je les ai sur moi aujourd'hui (2004). Mais encore maintenant, après d'avoir mis de la graisse, ils sont encore humides.
Donc, la vitesse d'envoyer la 101ème et la manque de ravaitaillement on couté bc de vies.
Si vous voulez, je mets qq images online de Bastogne !
A+
Patrick