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Monty
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Message non lu par Monty »

Pour moi c'est l'armée allemande à cause de l'armement.
stan_hudson
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Luz George a écrit:[/b a écrit :CaZo]Bah moi je voté autre alors je précise mon choix: c'est l'armée....SUISSE!!! eh oui parcequ'elle paye pas de mine, elle n'a jamais connue de guerre et personne n'a jamais osé l'attaquer, à part Napoléon mais qui s'est battu contre les russes en suisse^^.
C'est tout d'abord la seule armée du monde a pouvoir levé une armée de 500000 hommes en 24H seulement, c'est une armée prévoyante, tous les ponts et tunnels en suisse ont des coffres spéciaux ppur y déposer des mines, les pilotes de chasses suisse sont parmis les meilleurs du monde notamment grace a leur terrain très escarpé qui les oblige a maitriser parfaitement leurs appareils et enfin, les suisses ont d'excellents commando (ceux c- gagne chaque année depuis 10ans le concours européen des commandos (source d'un soldat suisse).

Après, mon armmée de coeur est néanmoins l'armée française d'aujourd'hui parcequ'avant tout, je suis français...et pas suisse!^^


Et combien de "Touristes" dans ce demi million ?[/quote]

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L'armée suisse est une armée de milice encadrée de militaires professionnels. Équipée de systèmes d'armement et d'équipements modernes, sophistiqués et bien entretenus, son rôle principal est d'assurer la défense du territoire suisse, la sauvegarde des conditions d'existence de la Suisse et sa neutralité, ceci de la manière la plus autonome possible, bien que la sécurité par la coopération devienne un objectif obligatoire dans l'avenir.

Concrètement, la doctrine militaire s'articule dans le cadre d'une coopération plus ou moins explicite avec les pays limitrophes, doctrine du pas de vide militaire qui vise à éviter que la Suisse ne devienne le ventre mou d'une Europe soumise à une invasion massive. Toutefois les menaces militaires ont changé, avec notamment la chute de l'Union Soviétique, ce qui a forcé l'armée suisse à effectuer une série de réformes.

Les hommes qui désirent entrer dans la Garde suisse, qui protège le Vatican, doivent avoir effectué leur service militaire en Suisse.
Service militaire [modifier]

Soldat suisse dans une gareLa conscription se produit à l'âge de 18 ans. À l'âge de 20, la moitié du service est effectué pendant une période de première formation (école de recrues) de 18 ou 21 semaines, selon l'incorporation, à l'exception des grenadiers (une unité d'infanterie d'élite) qui effectuent un service de 25 semaines. Ensuite, les hommes restent incorporés dans l'armée jusqu'à l'âge de 30 ans (ou jusqu'à la fin de l'année où ils atteignent 34 ans si le service n'est pas entièrement accompli), exécutant 3 semaines de formation (cours de répétition) par année jusqu'au moment où un total de 260 jours de service (pour les simples soldats) est atteint. La période de service pour les officiers est sensiblement plus longue (600 jours de service pour un lieutenant ou un premier-lieutenant). Les nouveaux sous-officiers et officiers doivent, après leur formation de cadres (respectivement école de sous-officiers ou d'officiers), effectuer un service pratique dans une école de recrues, mais cette fois-ci dans une fonction correspondant à leur nouveau grade. C'est ce que l'on appelle communément le paiement de galons.

Il est possible de remettre l'école de recrues ou les cours de répétition à plus tard, notamment pour terminer des études. Pour effectuer leur service, les hommes interrompent leur travail. Durant cette période, l'employé est payé entre 70% et 100% de son salaire régulier par son employeur. Un système d'allocations pour perte de gain (Caisse de compensation) permet à l'État de verser à l'employeur une compensation pour les jours de service effectués par l'employé. Les personnes n'ayant pas d'employeur (par exemple les étudiants) se font directement verser le montant de cette compensation.

Depuis la réforme Armée XXI, la possibilité existe pour les recrues de certaines armes d'effectuer la totalité de leurs jours de service (dans ce cas 300 jours au lieu des 260 jours du modèle classique pour les simples soldats) en une seule fois et de terminer ainsi leurs obligations militaires. À noter qu'en cas de service long, le grade de lieutenant est le plus élevé qu'il est possible d'atteindre.


Grade militaire et vie civile [modifier]
Pendant longtemps, revêtir un grade militaire en Suisse était une marque de prestige, voire une condition sine qua non pour atteindre certaines fonctions ou certains postes que ce soit dans des entreprises privées ou dans la fonction publique. Les grandes banques suisses furent longtemps demandeuses en la matière, si bien qu'il était pratiquement impossible de devenir, à une certaine époque, cadre dans une banque sans au moins être sous-officier voire officier dans l'armée. Certaines personnes, pas forcément très motivée par une carrière militaire de milice, gradaient malgré tout afin de donner de meilleures chances à leur carrière professionnelle.

Vers le début des années 1990, le ralentissement économique aidant, la situation se modifie. Les employeurs voient de moins en moins d'un bon ?il l'absence prolongée de leur personnel au profit de l'armée, absence d'autant plus longue chez les gradés désirant monter dans la hiérarchie militaire. Vers le milieu des années 1990, il est d'ailleurs constaté une très forte baisse des personnes désirant accéder à la fonction d'officier.

Les réformes militaires des dernières années ont notamment intégré cet élément et essayé de revaloriser la formation des cadres militaires de milice en la rendant plus attractive : réduction importante du temps de service et reconnaissance dans la vie civile de la formation militaire en matière de conduite humaine (par un certificat ou un brevet reconnu au plan fédéral).


Haut commandement [modifier]
En temps de paix, les forces armées sont dirigées par le chef de l'armée qui dépend du conseiller fédéral en charge du département de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) et du Conseil fédéral tout entier. En temps de crise ou de guerre, l'Assemblée fédérale élit un général, parmi les commandants de corps, pour devenir commandant en chef de l'armée. 4 hommes ont occupé cette fonction :

Guillaume-Henri Dufour (guerre du Sonderbund et affaire de Neuchâtel)
Hans Herzog (guerre franco-allemande de 1870)
Ulrich Wille (Première Guerre mondiale)
Henri Guisan (Seconde Guerre mondiale)
Les officiers généraux qui porteraient le titre de général dans d'autres armées ne le portent pas en Suisse puisque ce titre est limité aux périodes de guerre. On utilise plutôt les appellations de brigadier, divisionnaire et de commandant de corps. Leurs insignes sont stylisés par des edelweiss. Lors de missions internationales, les officiers généraux suisses sont toutefois appelés généraux pour les mettre sur un pied d'égalité avec leurs collègues étrangers.


Chefs de l'armée [modifier]
Les chefs de l'armée portent le grade de commandant de corps.

Christophe Keckeis (1er janvier 2003 au 31 décembre 2007)
Roland Nef (dès le 1er janvier 2008) [1]

Infrastructures [modifier]
Les codes suisses de construction exigent des abris destinés à protéger la population contre d'éventuels bombardements. Il existe un lit pour chaque Suisse dans l'un de ces nombreux abris. On y trouve également des hôpitaux et des centres de commandement destinés à poursuivre la marche du pays en cas d'urgence.

Des fortifications permanentes sont établies dans les Alpes afin de pouvoir reprendre possession des vallées après une invasion éventuelle. Elles incluent des bases aériennes souterraines, les avions, les équipages et le matériel étant logés dans des cavernes. Ces fortifications sont construites en fonction du concept de Réduit national datant des années 1930. Il est alors prévu que si les puissances de l'Axe envahissent la Suisse, ils doivent le faire à un prix énorme, l'armée se barricadant dans les forteresses qu'ils seraient difficile de prendre. Car le gouvernement pense que le but d'une invasion de la Suisse serait de prendre le contrôle des itinéraires de transport à travers les Alpes, à savoir les cols du Saint-Gothard, du Simplon et du Grand-Saint-Bernard, car la Suisse ne possède aucune ressource naturelle. Cependant, cela aurait signifié laisser l'ennemi prendre la population civile en otage dans les plaines.


Débats sur l'armée [modifier]

Service civil [modifier]
Depuis 1996, les citoyens suisses peuvent demander à effectuer un service civil à la place du service militaire. L'entrée au service civil est basée sur des raisons morales et est sujet à une évaluation préalable de la part des autorités. Les personnes concernées peuvent servir dans un organisme où elles effectuent divers types de services d'intérêt général. Cependant, elles ne peuvent effectuer leur service civil que si elles sont déclarées aptes au service militaire et elles doivent effectuer une période de service une fois et demi plus longue que les obligations militaires.

Un nombre significatif de jeunes hommes choisissent d'éviter le service militaire en présentant lors du recrutement un dossier médical étayant leur incapacité à effectuer le service pour des raisons de santé : ce sont les médecins militaires qui décident si la personne est apte ou inapte au service. Avant Armée XXI, les personnes déclarées inaptes au service militaire devaient payer une taxe additionnelle de 2% de leur revenu imposable. Ils pouvaient servir dans la protection civile, leur permettant ainsi de réduire cette taxe de 10% par jour de service accompli durant l'année. Depuis le 1er janvier 2004, l'aptitude à servir se fait à la fois pour le service militaire et la protection civile. La taxe pour ceux qui ne font ni service militaire ni protection civile passe de 2% à 3% du revenu imposable et la déduction pour le service dans la Protection civile n'est plus que de 4% par jour de service dans l'année. À noter également que cette taxe est à payer lorsqu'un soldat, pour des raisons professionnelles ou privées, doit ajourner un service militaire (cours de répétition annuel). La taxe est toutefois réduite selon un barème établi (en fonction des jours de service effectués). Lorsque toutes les obligations militaires sont effectuées (et le service ajourné rattrapé), la ou les taxes versées sont remboursées.
stan_hudson
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Obligation de servir et vie professionnelle [modifier]
L'obligation de servir pour les jeunes hommes, du point de vue professionnel, peut parfois induire un paradoxe : être pénalisé, voire rendu moins attractif à l'embauche dans son propre pays par rapport à un ressortissant étranger établi en Suisse ! En effet, contrairement à un ressortissant étranger, le jeune suisse devra s'absenter près de 3 semaines par année (sans oublier les 4 ou 6 semaines de congé auxquelles il a droit comme le ressortissant étranger). Et s'il est déclaré inapte au service ou obtient l'ajournement à l'année suivante d'un service, il devra payer une taxe supplémentaire basée sur son revenu imposable.

Certaines entreprises tiennent compte de ces absences supplémentaires et peuvent être tentées, à qualifications professionnelles égales, d'embaucher plutôt un ressortissant étranger, un jeune homme suisse déclaré inapte au service ou une personne libérée de ses obligations militaires (d'où l'avantage parfois dans ce dernier cas d'effectuer toutes ses obligations militaires en une seule fois).


Mouvement pacifiste [modifier]
Il existe un mouvement organisé, le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA), qui vise à l'abolition de l'armée. À son initiative, les Suisses votent à deux reprises sur ce sujet lors de référendums. Le premier, qui a lieu en 1989, voit les électeurs voter à 64,4% en faveur du maintien de l'armée. Le second, qui a lieu en décembre 2001, voit 78.1% des électeurs confirmer le vote de 1989. [2]. En 1992, après la décision du gouvernement suisse sur l'achat de 34 F/A-18 aux États-Unis, un demi-million de signatures sont rassemblées dans un délai d'un mois. La population confirme l'achat des jets, bien que 42,9% des électeurs votent contre ce projet. Le GSsA poursuit malgré tout son activité.


Missions de maintien de la paix [modifier]
La Suisse étant un pays neutre, son gouvernement ne prend pas position lors de conflits armés entre États. En conséquence, l'armée suisse n'est pas engagée dans des conflits à l'étranger depuis 1848, date de la création de l'armée fédérale. Cependant, au cours des dernières années, la Suisse prend part à plusieurs missions de maintien de la paix autour du monde. Récemment, la Suisse contribue au maintien de la paix à l'étranger (Swisscoy au Kosovo), sous certaines réserves puisque l'armée se doit de garantir le principe de neutralité suisse. La participation de la Suisse aux opérations des Casques Bleus est refusée suite à une votation populaire.

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Bosnie-Herzégovine [modifier]
De 1999 à 2001, l'armée suisse est présente en Bosnie-Herzégovine et basée à Sarajevo. Sa mission est de fournir un service de soutien logistique et médical à l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. Il est intéressant de noter qu'aucun des soldats actifs n'est armé durant toute la durée de la mission. Les soldats suisses sont identifiés parmi les autres armées sur le terrain par leur béret jaune.


Frontière inter-coréenne [modifier]
La Suisse fait partie de la Commission de surveillance créée pour surveiller l'armistice entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. Puisque les responsabilités de la commission se sont beaucoup réduites au cours des dernières années, seul 5 personnes font partie de la délégation suisse située près de la zone démilitarisée.


Équipements [modifier]

Fass 90Les militaires suisses sont équipés du fusil d'assaut Fass 90 et/ou du pistolet P220 Pist 75, tous deux de marque Sig Sauer. Les célèbres couteaux suisses sont également mis en circulation, bien qu'ils ne soient pas rouges mais argentés pour les soldats et sous-officiers, mais ne sont pas considérés comme des armes.

Les soldats suisses gardent leur arme personnelle, leurs uniformes et une partie de leur équipement chez eux en cas de mobilisation immédiate. La munition et le matériel est conservé dans les arsenaux où les unités doivent se rendre. Toutefois, les soldats conservent chez eux des munitions en quantité très limitée (appelées munition de poche, dans des boîtes scellées) à n'utiliser qu'en temps de guerre (pendant qu'ils rejoignent leurs unités) : une cinquantaine de cartouches pour le Fass 90 ou une boîte de 24 cartouches 9 mm pour les possesseurs de P220.

Chaque année, les soldats doivent également se présenter avec leurs fusils à un stand de tir et effectuer un programme minimum afin de conserver leur habilité (programme appelé tirs obligatoires). Les porteurs de pistolet (en général les officiers, les sous-officiers supérieurs ainsi que les troupes sanitaires) en sont exemptés. Pour l'anecdote, les officiers subalternes (lieutenant et premier-lieutenant), bien qu'équipés d'un pistolet, sont toutefois astreints aux tirs obligatoires qu'ils peuvent effectuer au choix avec un fusil d'assaut ou leur pistolet[3].

La détention d'une arme et de munitions chez les particuliers provoquent parfois des incidents : suicides ou meurtres. Bien que rares, ces incidents remettent périodiquement en cause le bien-fondé de la détention de l'arme et alimentent le débat entre ceux désirant maintenir cette tradition et ceux demandant le retour des armes dans les arsenaux.


Armes [modifier]
FIM-92 Stinger
SIG-550 (Fass 90)
Sig-Sauer P220 (Pist 75)

Véhicules [modifier]
Char Leopard 2
Mowag Piranha
Duro
M109 Kawest
Puch G

Avions et hélicoptères [modifier]

F/A-18 de l'armée suisseMcDonnell Douglas F/A-18 Hornet
Northrop F-5 E/F Tiger II
Dassault Mirage III (plus en service depuis 2000)
BAe Hawk MK-66
Pilatus PC-6
Pilatus PC-7
Pilatus PC-9
Pilatus PC-21
Alouette III
Super Puma
Falcon 50
Learjet 36
Dornier Do 27 H2
Drone ADS 95
Beech King Air 350

Uniformes [modifier]
Les uniformes au milieu du XIXe siècle étaient en bleu ou en gris-brun avec des épaules rouges et des parties blanches selon les armes. Plus tard, des uniformes inspirés de l'armée allemande furent introduits. Durant la Seconde Guerre mondiale, les uniformes étaient gris avec un harnais en cuir et des grades indiqués au bas des manches. Ce style resta en vigueur jusqu'en 1957 avant d'être remplacé par l'uniforme en tissu "camouflage" avec des teintes rouges et verdâtres (Alpenflage [4] qui était inspiré d'un camouflage allemand de la fin de la Seconde guerre mondiale). Les motifs ont été revu au début des années 1990 et l'uniforme de combat se décline désormais dans des tons bruns, verts plus discrets (tenue d'assaut 90 [5]). Les grades, auparavant des plaquettes métalliques fixées sur le col, ont été remplacés par des morceaux de tissu en velcro afin d'éviter les reflets. La tenue de sortie est quant à elle grise et se porte avec un béret[6].

Espionnage [modifier]
La défense suisse possède un système d'espionnage baptisé Onyx et qui est semblable au concept Echelon mais à une échelle beaucoup plus petite. Le système Onyx est lancé en 2000 afin de surveiller des communications civiles et militaires par le biais du téléphone, du fax ou d'Internet. Il est complété en 2005 et se base actuellement sur trois sites situés en Suisse. D'une manière semblable à Echelon, il emploie des listes de mots clés pour filtrer les contenus interceptés et trouver des informations dignes d'intérêt. Le 8 janvier 2006, l'édition dominicale du Blick (le Sonntagsblick) publie un rapport secret produit par le gouvernement suisse en utilisant des données interceptées par Onyx. Le rapport décrit un fax envoyé par le ministère égyptien des affaires étrangères à son ambassade de Londres et décrivant l'existence des centres de détention secrets supervisés par la CIA en Europe de l'Est. Le gouvernement suisse ne confirme pas officiellement l'existence du rapport mais lance le 9 janvier une procédure judiciaire pour fuite de documents secrets contre le journal.


Transmissions [modifier]

Véhicule de commutation (Puch) des troupes de transmissionL'armée suisse dispose de transmissions basées sur le réseau RITM (réseau intégré de télécommunications militaires). Son architecture est décentralisée et ressemble à Internet : les n?uds forment un maillage et permettent d'assurer les transmissions même si plusieurs unités venaient à tomber. L'armée dispose également d'un réseau fixe interne (Polycom) dans le pays, qui assure une redondance par rapport à celui de Swisscom, le principal opérateur téléphonique suisse. Le réseau RITM peut être relié au réseau fixe de Swisscom afin d'appeler des numéros externes.

On distingue principalement quatre types de troupes de transmissions :

les transmissions classiques (radios et antennes)
les transmissions ondes-dirigées (transmissions numériques à l'aide de paraboles, gestion des n?uds et lignes optiques)
la conduite de la guerre électronique
les troupes spécialisées dans l'informatique (pionniers informatiques)
Les écoles de recrues associées à ces troupes ont lieu à Kloten, Bülach et Jassbach. Les troupes de transmission touchent du matériel secret comme les appareils de chiffrement. Des exercices ont souvent lieu avec des transmissions s'étalant sur plusieurs cantons. Les transmissions dans le cadre de la Patrouille des Glaciers sont assurées en collaboration avec Swisscom par un réseau RITM couvrant plusieurs vallées dans le canton du Valais.

L'utilisation du téléphone de campagne comme moyen de transmission a, depuis la réforme d'Armée XXI, pratiquement disparue. La fonction de téléphoniste n'existe plus dans l'armée suisse.

SOURCE :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9e_suisse

ALORS DES TOURISTES L'ARMEE SUISSE ?
CaZo
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Message non lu par CaZo »

Exactement stan hudson je n'aurais pas moi même mieux répondu a cette critique non fondé!

Je rajouterais 3 petites précisions ou annecdotes: j'ai discuté avec un suisse qui ma apporter quelques précisions sur son armée bien qu'il soit resté assez discret, me disant que le suisse reste discret sur sa défense:
- Les F-18 achetés par les suisses aux américains arrivent en suisse totalement désossés et ils sont remontés par les mécano suisse eux-même!

-le fusil d'assaut suisse FASS90 est un des meilleurs fusils d'assaut du
monde,en plus d'être extrêmement précis jusqu'à 300mètres, il est fait avec un alliage de métaux très résistant si bien qu'un camion voir un véhicule chenillé (léger) peut rouler dessus sans endomager le fusil.

-enfin, chaque matériel entrant dans l'armée suisse subit un test en terrain naturel et artificiel, ainsi l'armée suisse a refuser d'acheter a la france l'AMX-10, jugeant ses performances en terrain artificiel insuffisante et lui préférant le M-113 américain (stan dis moi si je ne me trompe mais je ne pense pas).

-l'homme avec qui j'ai discuté m'a aussi dit que il éxistait des stages de spécialisation pour les soldats non professionnel comme par exemple "commandement", "tireur d'élite" ...

voila, heureux que mon choix méconnu et risible pour les gens ne connaissant pas bien l'armée suisse ait pu leur apporter plus de précision sur "les touristes" en kaki que sont nos amis helvètes à leurs yeux! Image

Et merci stan de toutes ces précisions car je ne m'étais jamais pencher énergiquement sur l'organigramme de l'armée suisse! Image

Mes amitiés a tous.CaZo.
stan_hudson
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Message non lu par stan_hudson »

Voici un lien (fait par des militaires suisses) fort utile que j'aime lire de temps en temps avec des reflexions sur l'actualité :

http://www.checkpoint-online.ch/

Il y a des années, lorsque j'étais enfant, je suis parti en vacance en Suisse.
J'avais été impressionné de voir des militaires circuler dans les trains comme si ils partaient à la guerre, de voir un milicien habillé en civil avoir son fusil d'assault dans un train comme si c'était un bagage normal, etc...

Durant la WW2 l'armée suisse n'était pas une armée d'opérette.
Ils ont même acheté du matériel aux allemands.

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Pour preuve que l'armée suisse n'était pas passive durant la WW2 :

Dès la prise du pouvoir par Hitler en 1933, le conseiller fédéral Rudolf Minger se dépensa en conférences pour améliorer l'image de l'armée dans l'opinion publique. La Société suisse des officiers soutint activement sa campagne. Le peuple contribua au réarmement du pays en souscrivant en 1936 un emprunt de 235 millions de francs (Emprunt de défense nationale 1936 , Emprunts de guerre ). L'année suivante, le parti socialiste se rallia sans réserve à la défense nationale. L'Exposition nationale de 1939 exprima ce que ressentait l'immense majorité de la population. Pour remettre à l'heure une armée trop longtemps négligée, le conseiller fédéral Minger procéda à des réformes dans tous les secteurs. L'infanterie reçut, avant même l'embrasement de la Deuxième Guerre mondiale , une première livraison d'armes d'appui (lance-mines, canons d'infanterie). Les troupes légères se virent dotées de chars de reconnaissance. Des canons motorisés vinrent remplacer en partie les pièces tirées par des chevaux. Des appareils Messerschmitt renforcèrent l'aviation. Quant à la défense antiaérienne, elle n'en était qu'à ses débuts. En outre, l'ordonnance de 1939 sur le service complémentaire autorisa, dans certaines limites, la présence des femmes dans l'armée (Service complémentaire féminin, depuis 1986 Service féminin de l'armée (SFA) ).

Toutes les durées d'instruction furent allongées, mais sans guère de résultats avant le début du Service actif . Les pesantes structures de l'armée furent assouplies.

Aux termes de l'Organisation des troupes de 1938, les trois corps d'armée devaient assurer des tâches opérationnelles, en d'autres mots décider eux-mêmes des objectifs à atteindre dans leur secteur et fournir les moyens adéquats aux responsables tactiques. Aux neuf divisions de trois régiments chacune et aux trois brigades de montagne autonomes (Troupes de montagne ) incombait la conduite du combat en combinant les armes. Le degré de motorisation de ces troupes était modeste; elles se déplaçaient le plus souvent à pied et en recourant à des chevaux de trait. En cas d'assaut stratégique, huit brigades frontière, ainsi que les troupes de couverture de la division du Gothard et des brigades de montagne subiraient le premier choc pour permettre à l'armée de campagne de se mobiliser. Des Fortifications permanentes appuieraient leurs arrières. Trois brigades légères composées de cavalerie, de cyclistes et de troupes motorisées étaient destinées au premier chef à gagner du temps. Vers la fin de l'entre-deux-guerres, la direction de l'armée fut renforcée. La répartition entre les trois groupements de l'état-major général, de l'instruction et de l'administration militaire permit de réduire fortement le nombre de subordonnés directs du chef du DMF. On renonça à l'idée d'un "général de paix", mais un inspecteur de l'armée aurait dû exercer un contrôle. La déclaration de guerre et la mobilisation générale en retardèrent l'entrée en fonction, puis, la guerre finie, on abandonna cette idée.

Auteur: Hans Senn / WW

SOURCE :

http://hls-dhs-dss.ch/textes/f/F8683-1-6.php

Un lien sur les uniformes de l'armée suisse :
http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Swiss_army_uniforms?uselang=fr

Un lien sur les ME 109 Suisse :

http://www.messerschmitt109.com/suisse/index2.htm
Reece
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Message non lu par Reece »

Même les allemands en 1940 d'un point de vue militaire ne voulaient pas envahir la Suisse.

"L'opération Tannenbaum était le troisième plan établi par le Grand Quartier Général allemand après la chute de la France mais Hitler ne donna jamais l'ordre de déclenchement, peut-être parce que la Suisse avait une qualité de défense qu'aucun autre pays ne possédait. Chaque foyer suisse avait été équipé de fusil et le terrain très montagneux des Alpes suisses donnait un avantage tactique au général suisse Henri Guisan et à son armée qui alors représentait 1/5 de la population totale de ce pays."

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Tannenbaum
CaZo
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Message non lu par CaZo »

C'est pour ça que j'ai choisis cette armée! elle est étonnante, si on veut bien se donner la peine de creuser un peu! Image

Amitiés a tous.CaZo.
Max
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Message non lu par Max »

A propos de l'aviation : Un jour, pendant la bataille de France, 2 He 111 s'introduisent dans le domaine aérien français. Ils sont aussitot pris en chasse par 2 Dewoitine De 520. Pour échapper à la chasse, les 2 bombardiers passe la frontière Suisse. Les deux chasseur abandonnent et rentre à leur base. Aussitôt après avoir passé la frontière, plusieur Me-109 suisse apparaissent et abattent les deux bombardiers en très peu de temps.

Max
CaZo
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Message non lu par CaZo »

quand je vous dit que l'armée suisse c'est pas des branquignoles!^^

a+.CaZo.
Invité

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Message non lu par Invité »

soviétique pas russe !!!

Surtout que c'est via la suisse que ce faisait tout les accord américano-germanique. Quel perte d'argent d'attaquer la suisse.
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