Quiz sur l'armée française
Quiz sur l'armée française
Y en avait un peu plus de trois, onze si ma mémoire est bonne. Mais sinon oui c'est ca. Leur valeur à tellement touché le commandement (l'empereur lui-même je crois) qu'ils ont été échangé contre une unité de la régulière.
Quiz sur l'armée française
Question facil pour vous:
Qui créa le 1er régiment de Spahis?
Quand?
Et donné moi 2 exemple d'opérations extérieurs au cours des dernières années.
Qui créa le 1er régiment de Spahis?
Quand?
Et donné moi 2 exemple d'opérations extérieurs au cours des dernières années.
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Créé en 1914, par le Général Lyautey.
OPEX récentes :Côte d'Ivoire, Afghanistan (peut être), Kosovo.
OPEX récentes :Côte d'Ivoire, Afghanistan (peut être), Kosovo.
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Bien Rock et je confirme pour l'Afghanistan,pour info le 1er régiment de Spahis ce situe chez moi à Valence.
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Quel régiment de la légion étrangère est spécialiste de la montagne ?Quand a t-il été créé ?
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La 2ème compagnie du 2ème REP est spécialisée pour les combats en zones montagneuse et en terrain accidentés.
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Ca pourrait aussi être le 2e REG puisqu'il appartient à la 27e BIM crée en 1999.
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Oui ça peut aussi être lui.
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Et bien c'est le 2°REG, car comme le disait ma question, nous chercions un régiment et non une compagnie de régiment, désolé dédé49.
A toi cap'tain crevette !
A toi cap'tain crevette !
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Dans la catégorie homme célébre (avec Julien Lerpers) :
Je suis né le 12 février 1712 à Nîmes. Je suis issu d'une antique et noble famille d'épée, originaire du Rouergue, dans le château de Candiac, je fut baptisé à Vauvert (Gard), ville proche, dont un hameau porte aujourd'hui mon nom. A l'âge de 9 ans, le 16 août 1721, je reçoit une commission d'enseigne dans le régiment de Hainaut. Huit ans plus tard, j'obtient à fort prix, une commission de capitaine dans ce même régiment.
Je participe à la guerre de Succession de Pologne et à celle d'Autriche où je sert en Rhénanie dans les armées commandées par le maréchal de Saxe et le maréchal duc de Berwick. Au moment où éclate la guerre de Succession d'Autriche, j'obtient le poste d'aide de camp du lieutenant général marquis de la Fare et je suis blessé pendant le siège de Prague. Le 6 mars 1743, j'acquiert la charge de colonel du régiment d'Auxerrois et je suis honoré du titre de chevalier de Saint Louis en avril de l'année suivante. Cette même année, je participe à la campagne victorieuse d'Italie. Le 16 juin 1746, toujours face aux Autrichiens, je me signale lors de la malheureuse bataille de Plaisance, où je reçoit 5 coups de sabre. Je suis blessé et fait prisonnier lorsque mon régiment est anéanti. En 1747, je suis nommé brigadier par Louis XV et je suis blessé au combat de l'Assiette (Italie).
Après 31 ans dans l'armée je compte déjà 11 campagnes et 5 blessures.
Je suis envoyé à Québec en 1756 comme commandant des troupes françaises en Amérique du Nord pendant la guerre de la conquête. Au printemps 1756, je suis nommé maréchal de camp pour les opérations en Nouvelle-France. Mes premières campagnes contre les Britanniques sont des succès majeurs. J'augmente les défenses de Fort Ticonderoga sur le lac Champlain. Je capture et détruit Fort Oswego sur le lac Ontario en 1756. Ma victoire à Fort William Henry en 1757 est gâchée par mes alliés amérindiens. Je remporte une victoire inespérée à Fort Carillon en 1758. A l'automne de cette même année, on m'accorde une promotion au grade de lieutenant général : rien de moins que le deuxième degré dans la hierarchie militaire française. Je soutiens le siège de la ville de Québec pendant près de trois mois avant d'être mortellement blessé lors de la bataille des plaines d'Abraham, perdue devant les forces britanniques commandées par James Wolfe. A l'agonie, j'aurais une petite discussion avec mon chirurgien :
" Combien de temps me reste-t-il à vivre ?
- Quelques heures à peine.
- Tant mieux, je ne verrai pas les Anglais à Québec."
Je suis ......Je suis.....
Je suis né le 12 février 1712 à Nîmes. Je suis issu d'une antique et noble famille d'épée, originaire du Rouergue, dans le château de Candiac, je fut baptisé à Vauvert (Gard), ville proche, dont un hameau porte aujourd'hui mon nom. A l'âge de 9 ans, le 16 août 1721, je reçoit une commission d'enseigne dans le régiment de Hainaut. Huit ans plus tard, j'obtient à fort prix, une commission de capitaine dans ce même régiment.
Je participe à la guerre de Succession de Pologne et à celle d'Autriche où je sert en Rhénanie dans les armées commandées par le maréchal de Saxe et le maréchal duc de Berwick. Au moment où éclate la guerre de Succession d'Autriche, j'obtient le poste d'aide de camp du lieutenant général marquis de la Fare et je suis blessé pendant le siège de Prague. Le 6 mars 1743, j'acquiert la charge de colonel du régiment d'Auxerrois et je suis honoré du titre de chevalier de Saint Louis en avril de l'année suivante. Cette même année, je participe à la campagne victorieuse d'Italie. Le 16 juin 1746, toujours face aux Autrichiens, je me signale lors de la malheureuse bataille de Plaisance, où je reçoit 5 coups de sabre. Je suis blessé et fait prisonnier lorsque mon régiment est anéanti. En 1747, je suis nommé brigadier par Louis XV et je suis blessé au combat de l'Assiette (Italie).
Après 31 ans dans l'armée je compte déjà 11 campagnes et 5 blessures.
Je suis envoyé à Québec en 1756 comme commandant des troupes françaises en Amérique du Nord pendant la guerre de la conquête. Au printemps 1756, je suis nommé maréchal de camp pour les opérations en Nouvelle-France. Mes premières campagnes contre les Britanniques sont des succès majeurs. J'augmente les défenses de Fort Ticonderoga sur le lac Champlain. Je capture et détruit Fort Oswego sur le lac Ontario en 1756. Ma victoire à Fort William Henry en 1757 est gâchée par mes alliés amérindiens. Je remporte une victoire inespérée à Fort Carillon en 1758. A l'automne de cette même année, on m'accorde une promotion au grade de lieutenant général : rien de moins que le deuxième degré dans la hierarchie militaire française. Je soutiens le siège de la ville de Québec pendant près de trois mois avant d'être mortellement blessé lors de la bataille des plaines d'Abraham, perdue devant les forces britanniques commandées par James Wolfe. A l'agonie, j'aurais une petite discussion avec mon chirurgien :
" Combien de temps me reste-t-il à vivre ?
- Quelques heures à peine.
- Tant mieux, je ne verrai pas les Anglais à Québec."
Je suis ......Je suis.....
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